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Bonsoir,
ça y est, on voit tout.
On dirait de la brique, votre mur. Est-elle vraiment friable au point de partir en poussière ?
Si ce n'est pas le cas, personnellement, je décaperais les parties grises (ça m'a l'air bien gris pour être de la chaux ?), j'enlèverais le grillage à poules, d'autant plus que la chaux attaque le fer, même si le votre a l'air galvanisé.
Ensuite, je ferais d'abord un bon gobetis de mortier de chaux, pour l'accroche, après avoir bien humidifié le support, selon les règles d'usage (voir plus bas dans ce forum).
Ensuite, le corps d'enduit et la finition Toujours au mortier de chaux.
Qu'en pensez-vous ?
ça y est, on voit tout.
On dirait de la brique, votre mur. Est-elle vraiment friable au point de partir en poussière ?
Si ce n'est pas le cas, personnellement, je décaperais les parties grises (ça m'a l'air bien gris pour être de la chaux ?), j'enlèverais le grillage à poules, d'autant plus que la chaux attaque le fer, même si le votre a l'air galvanisé.
Ensuite, je ferais d'abord un bon gobetis de mortier de chaux, pour l'accroche, après avoir bien humidifié le support, selon les règles d'usage (voir plus bas dans ce forum).
Ensuite, le corps d'enduit et la finition Toujours au mortier de chaux.
Qu'en pensez-vous ?
17 décembre 2009 à 21:56

Bonjour,
J'adore les vieux crépis. Quand on les casse, on trouve des trésors en dessous.
Il est en quoi votre crépi ? Si c'est un vieil enduit chaux, un jeune badigeon lui donnerait une modernité hors du commun, et aucun placo bien droit ne supportera la comparaison ; -)
Vous garderiez ainsi votre maison "à vous", sans la transformer en HLM !
Savez-vous ce qu'il y a comme mur en dessous de ce crépi ?
Si vous voulez vraiment "redresser", pour savoir la place perdue, il faudrait mettre une règle et un niveau à l'endroit le plus bossu, et rajouter l'épaisseur mini d'une plaque, enfin disons au moins 15 à 20 mm quand même.
Vous verrez ce que vous perdez comme place par rapport à l'endroit le plus creux. Cordialement.
J'adore les vieux crépis. Quand on les casse, on trouve des trésors en dessous.
Il est en quoi votre crépi ? Si c'est un vieil enduit chaux, un jeune badigeon lui donnerait une modernité hors du commun, et aucun placo bien droit ne supportera la comparaison ; -)
Vous garderiez ainsi votre maison "à vous", sans la transformer en HLM !
Savez-vous ce qu'il y a comme mur en dessous de ce crépi ?
Si vous voulez vraiment "redresser", pour savoir la place perdue, il faudrait mettre une règle et un niveau à l'endroit le plus bossu, et rajouter l'épaisseur mini d'une plaque, enfin disons au moins 15 à 20 mm quand même.
Vous verrez ce que vous perdez comme place par rapport à l'endroit le plus creux. Cordialement.
17 décembre 2009 à 21:43

OK ? on attend que vous ayez fait sauter l'enduit pour savoir s'il y a fissures derrière. A bientôt.
17 décembre 2009 à 11:46

Bonjour,
Je ne comprends pas, pouvez-vous réexpliquer ? Rigole ? Empattement ? Remblais ? Où, quoi, comment ?
Je ne comprends pas, pouvez-vous réexpliquer ? Rigole ? Empattement ? Remblais ? Où, quoi, comment ?
17 décembre 2009 à 11:44

Désolé, je ne comprends pas vraiment comment votre linteau est constitué. Un petit croquis ? Merci.
17 décembre 2009 à 11:42

Bonjour,
Je viens de lire une autre suggestion astucieuse de SD dans le forum litiges. Il suppose que ce serait un problème de condensation : "N'auriez-vous pas carrelé votre cave récemment, par hasard ? "
Voilà une autre piste à creuser... avant de creuser !
Un puits busé, oui, mais c'est là où le sourcier vous aiderait à le poser au bon endroit ; -)
Cordialement.
Je viens de lire une autre suggestion astucieuse de SD dans le forum litiges. Il suppose que ce serait un problème de condensation : "N'auriez-vous pas carrelé votre cave récemment, par hasard ? "
Voilà une autre piste à creuser... avant de creuser !
Un puits busé, oui, mais c'est là où le sourcier vous aiderait à le poser au bon endroit ; -)
Cordialement.
17 décembre 2009 à 11:38

Bonjour,
Je ne vois pas vos images. En quel matériau est votre mur "friable" ? Est-ce un mur en pierres, hourdies à la chaux ? Dans ce cas il est possible, ce mur ayant été étouffé, que l'enduit chaux devienne friable. Les pierres sont-elles visibles ?
Sans savoir quel est exactement la nature de votre mur, je ne peux vous conseiller davantage.
A priori, il ne faudrait pas mettre de grillage, mais après avoir brossé et éventuellement décapé un peu, faire un gobetis d'accrochage, puis un enduit (à la chaux).
Je ne vois pas vos images. En quel matériau est votre mur "friable" ? Est-ce un mur en pierres, hourdies à la chaux ? Dans ce cas il est possible, ce mur ayant été étouffé, que l'enduit chaux devienne friable. Les pierres sont-elles visibles ?
Sans savoir quel est exactement la nature de votre mur, je ne peux vous conseiller davantage.
A priori, il ne faudrait pas mettre de grillage, mais après avoir brossé et éventuellement décapé un peu, faire un gobetis d'accrochage, puis un enduit (à la chaux).
15 décembre 2009 à 00:04

Bonjour Valérie, Marie, SD,
C'est parfait pour se lancer, un petit coin comme ça ; -) Après un premier succès, on se sent invulnérable pour tous les autres chantiers, n'est-ce pas, Marie ?
Votre idée me parait excellente, SD, et à la portée de Valérie. Du mortier prêt, en petit sac. Une petite planche sur la face gauche (il faudra la maintenir plaquée avec un liteau pour qu'elle ne tombe pas pendant l'opération. Un petit coup d'eau au pulvérisateur sur toute la surface à réparer, pour bien mouiller et favoriser l'adhérence (le pulvérisateur que vous utilisez pour vos plantes, par exemple). Je prendrais une spatule, pour bien bourrer le mortier, à partir du fond. Ne faites pas votre mortier trop liquide, ce sera plus facile à appliquer. Si votre spatule est assez large, vous n'aurez même pas besoin de mettre ensuite une planche du côté droit, vous nivelez directement.
Petite astuce : je vois deux chevilles -verte et rouge- qui fixaient votre boîte électrique : quand vous aurez garni et nivelé côté droit, pendant que c'est frais, présentez la boîte à sa future place, repérez l'endroit des vis (pointe de crayon), puis enfoncez (sans les vis ni la boîte !) les chevilles dans le mortier frais avec par exemple un préperçage au crayon et faites les retouches de planéité en "serrant" bien autour. ça vous évitera de devoir percer ensuite, car tout sera prêt.
Autre astuce, dès que vous verrez que votre mortier commence à durcir, enlevez la planche. Vous pourrez alors avec une éponge humide, surfacer votre travail (en rajoutant si nécessaire, à la spatule un peu de mortier frais dans les creux).
Comme vous débutez, prenez du mortier normal, pas du mortier "prompt", ça vous laissera le temps de travailler tranquillement.
Bon courage.
C'est parfait pour se lancer, un petit coin comme ça ; -) Après un premier succès, on se sent invulnérable pour tous les autres chantiers, n'est-ce pas, Marie ?
Votre idée me parait excellente, SD, et à la portée de Valérie. Du mortier prêt, en petit sac. Une petite planche sur la face gauche (il faudra la maintenir plaquée avec un liteau pour qu'elle ne tombe pas pendant l'opération. Un petit coup d'eau au pulvérisateur sur toute la surface à réparer, pour bien mouiller et favoriser l'adhérence (le pulvérisateur que vous utilisez pour vos plantes, par exemple). Je prendrais une spatule, pour bien bourrer le mortier, à partir du fond. Ne faites pas votre mortier trop liquide, ce sera plus facile à appliquer. Si votre spatule est assez large, vous n'aurez même pas besoin de mettre ensuite une planche du côté droit, vous nivelez directement.
Petite astuce : je vois deux chevilles -verte et rouge- qui fixaient votre boîte électrique : quand vous aurez garni et nivelé côté droit, pendant que c'est frais, présentez la boîte à sa future place, repérez l'endroit des vis (pointe de crayon), puis enfoncez (sans les vis ni la boîte !) les chevilles dans le mortier frais avec par exemple un préperçage au crayon et faites les retouches de planéité en "serrant" bien autour. ça vous évitera de devoir percer ensuite, car tout sera prêt.
Autre astuce, dès que vous verrez que votre mortier commence à durcir, enlevez la planche. Vous pourrez alors avec une éponge humide, surfacer votre travail (en rajoutant si nécessaire, à la spatule un peu de mortier frais dans les creux).
Comme vous débutez, prenez du mortier normal, pas du mortier "prompt", ça vous laissera le temps de travailler tranquillement.
Bon courage.
14 décembre 2009 à 10:39

Bonjour,
L'hypothèse de bdx est intéressante.
Si elle est avérée, il y aurait une solution pour en faciliter et optimiser la mise en uvre. Mais vous n'êtes pas obligé de me croire ; -)
Vous pourriez vous entourer des services d'un sourcier. S'il y a une veine, avec les baguettes ou un pendule, le sourcier peut en déterminer profondeur et direction. Personnellement je le fais avec un pendule, et ça marche bien.
Cordialement.
L'hypothèse de bdx est intéressante.
Si elle est avérée, il y aurait une solution pour en faciliter et optimiser la mise en uvre. Mais vous n'êtes pas obligé de me croire ; -)
Vous pourriez vous entourer des services d'un sourcier. S'il y a une veine, avec les baguettes ou un pendule, le sourcier peut en déterminer profondeur et direction. Personnellement je le fais avec un pendule, et ça marche bien.
Cordialement.
13 décembre 2009 à 12:17

Est-ce qu'à chaque "ligne" d'efflorescence correspond une microfissure ?
ça vaudrait peut-être le coup -mais là j'avoue que je suis un peu iconoclaste, vous allez me maudire ! - de faire sauter délicatement l'enduit avec une broche, à un endroit discret, pour voir comment sont les agglos dessous. Y a-t-il fissure de l'agglo ou simplement de l'enduit ? Est-ce que quand vous le titillez, l'enduit sonne creux et a tendance à s'en aller par plaques ?
Vous n'êtes pas obligé de me suivre dans mes appétits destructeurs.
Bdx (cordial salut au passage), si vous repassez par là, vous en pensez quoi vous, à part que c'est beau ; -)? je suis sûr que vous avez une explication lumineuse.
ça vaudrait peut-être le coup -mais là j'avoue que je suis un peu iconoclaste, vous allez me maudire ! - de faire sauter délicatement l'enduit avec une broche, à un endroit discret, pour voir comment sont les agglos dessous. Y a-t-il fissure de l'agglo ou simplement de l'enduit ? Est-ce que quand vous le titillez, l'enduit sonne creux et a tendance à s'en aller par plaques ?
Vous n'êtes pas obligé de me suivre dans mes appétits destructeurs.
Bdx (cordial salut au passage), si vous repassez par là, vous en pensez quoi vous, à part que c'est beau ; -)? je suis sûr que vous avez une explication lumineuse.
12 décembre 2009 à 18:03

L'hypothèse de Marie est pertinente (comme d'hab') surtout si vous n'avez pas eu d'intempéries particulières cet été et cet automne. Car je viens de relire que vous y habitez depuis 2 ans. Il me semble qu'un problème consécutif à un mauvais drainage se serait manifesté avant... Sauf si vous aviez une dalle de chaux, et que vous venez de l'étouffer par un ragréage étanche.
12 décembre 2009 à 17:50

Bonjour,
Vous n'avez pas de chance, le sol a probablement été mal drainé. En général on défonce, pour faire une espèce de hérisson (lit de cailloux), qui fait le drainage, on ajoute des drains éventuellement selon la nature du sol...
Dans la restauration du bâti ancien, on fait souvent des dalles chaux/billes d'argile, avec des revêtements de terre cuite, qui sont des sols très régulateurs d'humidité. Là, vous êtes coincé. Il faudrait casser pour drainer.
Votre maison étant neuve, la garantie pourrait peut-être marcher. Vous pouvez faire un détour par le forum litiges, où nous avons un remarquable spécialiste, MD, que je salue cordialement au passage.
Vous n'avez pas de chance, le sol a probablement été mal drainé. En général on défonce, pour faire une espèce de hérisson (lit de cailloux), qui fait le drainage, on ajoute des drains éventuellement selon la nature du sol...
Dans la restauration du bâti ancien, on fait souvent des dalles chaux/billes d'argile, avec des revêtements de terre cuite, qui sont des sols très régulateurs d'humidité. Là, vous êtes coincé. Il faudrait casser pour drainer.
Votre maison étant neuve, la garantie pourrait peut-être marcher. Vous pouvez faire un détour par le forum litiges, où nous avons un remarquable spécialiste, MD, que je salue cordialement au passage.
12 décembre 2009 à 08:05

Bonjour,
Je suis d'accord avec bdx. Donc l'hypothèse d'une portée insuffisante de vos linteaux ne semble pas expliquer la fissuration.
Ce qui m'étonne dans votre description, c'est que vous parlez de linteaux en briques. Or, pour faire un linteau en briques individuelles, il me semble qu'il faut soit faire une voute, soit avoir un système d'armature qui les relie. Et s'il y avait affaissement du linteau, il me semble que les fissures seraient au dessus. Auriez-vous une photo pour qu'on se rende mieux compte ?
Je suis d'accord avec bdx. Donc l'hypothèse d'une portée insuffisante de vos linteaux ne semble pas expliquer la fissuration.
Ce qui m'étonne dans votre description, c'est que vous parlez de linteaux en briques. Or, pour faire un linteau en briques individuelles, il me semble qu'il faut soit faire une voute, soit avoir un système d'armature qui les relie. Et s'il y avait affaissement du linteau, il me semble que les fissures seraient au dessus. Auriez-vous une photo pour qu'on se rende mieux compte ?
11 décembre 2009 à 18:49

Ce ne sont pas les matériaux qui sont en cause, mais la mise en uvre. Aucun mur de ce type (agglos) ne peut retenir la pression d'une butte de terre imbibée. Ce qui est blanchâtre, c'est à mon avis le lent travail de l'eau par rapport au mortier de ciment. Un peu comme le salpêtre. Vous pouvez essayer de percer un trou, de part en part, et vous verrez rapidement ce qui se passe... Sauf à tout refaire, ça peut se terminer en gruyère (si Marie passe par là, elle va aimer !)
11 décembre 2009 à 18:40

Bonjour,
Pour vous répondre, il serait mieux de connaître la matière de votre receveur, et la constitution du sol sur lequel il est posé.
Pour vous répondre, il serait mieux de connaître la matière de votre receveur, et la constitution du sol sur lequel il est posé.
11 décembre 2009 à 18:32

Bonjour,
De quelle dalle parlez-vous ? Une terrasse exposée à la pluie et dont le dessous est aménagé ?
De quelle dalle parlez-vous ? Une terrasse exposée à la pluie et dont le dessous est aménagé ?
11 décembre 2009 à 10:41

Bonjour,
Savez-vous précisément comment a été réalisé le sol dans cette cave ? (les différentes "couches" au dessous de votre carrelage, jusqu'au terrain de base)
Savez-vous précisément comment a été réalisé le sol dans cette cave ? (les différentes "couches" au dessous de votre carrelage, jusqu'au terrain de base)
11 décembre 2009 à 10:40

Bonjour,
Qu'entendez-vous par "condamné par du béton". A quel endroit a été coulé ce béton ?
Qu'entendez-vous par "condamné par du béton". A quel endroit a été coulé ce béton ?
11 décembre 2009 à 10:37

Bonjour,
Il n'y a rien pour drainer l'eau derrière ce mur ? Avec la butte de terre qu'il y a derrière, si elle est imbibée, la pression doit être terrible ; -)
Au pire, en attendant de refaire, vous pourriez presque percer des trous de part en part, pour que l'eau sorte vers l'avant ?
Il n'y a rien pour drainer l'eau derrière ce mur ? Avec la butte de terre qu'il y a derrière, si elle est imbibée, la pression doit être terrible ; -)
Au pire, en attendant de refaire, vous pourriez presque percer des trous de part en part, pour que l'eau sorte vers l'avant ?
09 décembre 2009 à 00:21

Bonjour,
Question préalable : avec quel mortier précis a été fait votre rejointoiement ?
Je vous demande ça, parce que, si votre artisan, à tout hasard, a fait un super rejointoiement au mortier de chaux, ce serait un peu sacrilège d'étanchéifier un mur qui respire bien, et qui va donc parfaitement réguler l'humidité...
Question préalable : avec quel mortier précis a été fait votre rejointoiement ?
Je vous demande ça, parce que, si votre artisan, à tout hasard, a fait un super rejointoiement au mortier de chaux, ce serait un peu sacrilège d'étanchéifier un mur qui respire bien, et qui va donc parfaitement réguler l'humidité...
09 décembre 2009 à 00:12

Bonjour,
Déjà une première vérification. Dites-moi, ce que vous appelez les poutres en U, n'est-ce pas un chevêtre ?
Normalement si c'est ça, c'est l'inverse de votre hypothèse. On fait ce chevêtre parce qu'on a besoin de créer un passage à travers le plancher supérieur pour la gaine de cheminée (avec un "écart au feu"). Il a donc pour but de supporter le plancher.
Quelquefois, l'écart au feu est fait avec du mortier coulé autour du conduit, et on a l'impression que la gaine supporte le chevêtre, mais ça ne devrait pas être le cas. Ce que vous appelez le U devrait être noyé plus ou moins dedans, et c'est tout.
Pour en avoir le coeur net, vérifiez que l'extrémité des solives (les deux embouchures de votre U) sont bien scellées dans le mur.
Si c'est le cas, vous pouvez donc couper le conduit au dessous du U avec une disqueuse, pour travailler plus tranquillement à démonter la suite de votre conduit (toujours en descendant). Ensuite vous pourrez dégager tranquillement le U : faire réapparaitre les 2 solives latérales et le chevêtre en bois qui les relie et qui supporte la solive centrale qui a été coupée pour le passage de la gaine. Cordialement.
Déjà une première vérification. Dites-moi, ce que vous appelez les poutres en U, n'est-ce pas un chevêtre ?
Normalement si c'est ça, c'est l'inverse de votre hypothèse. On fait ce chevêtre parce qu'on a besoin de créer un passage à travers le plancher supérieur pour la gaine de cheminée (avec un "écart au feu"). Il a donc pour but de supporter le plancher.
Quelquefois, l'écart au feu est fait avec du mortier coulé autour du conduit, et on a l'impression que la gaine supporte le chevêtre, mais ça ne devrait pas être le cas. Ce que vous appelez le U devrait être noyé plus ou moins dedans, et c'est tout.
Pour en avoir le coeur net, vérifiez que l'extrémité des solives (les deux embouchures de votre U) sont bien scellées dans le mur.
Si c'est le cas, vous pouvez donc couper le conduit au dessous du U avec une disqueuse, pour travailler plus tranquillement à démonter la suite de votre conduit (toujours en descendant). Ensuite vous pourrez dégager tranquillement le U : faire réapparaitre les 2 solives latérales et le chevêtre en bois qui les relie et qui supporte la solive centrale qui a été coupée pour le passage de la gaine. Cordialement.
30 novembre 2009 à 09:30

Bonjour,
Je comprends vos inquiétudes. En même temps, pour avoir toujours vécu dans des maisons anciennes que j'ai restaurées, j'ai appris que les fissures font partie de leur histoire. Elles traduisent leurs réactions aux différents stress qu'on leur impose (terrassements alentour, restaurations hasardeuses, négligences d'entretien sur les toitures en particulier). Le propriétaire a intérêt financièrement à dédramatiser... mais il est peut être techniquement averti, et honnête.
Rassurez-vous, dans des maisons plus modernes en apparence, si les habitants savaient ce qui se passe derrière de beaux placos fixés à la hussarde, ils préfèreraient peut-être vos fissures visibles !
Donc pour vous, ce qu'il faut savoir, c'est si ces fissures sont actives (danger !) ou passives (pas de danger, en gros les seuls préjudices actuels sont esthétiques). Pour répondre : depuis combien de temps êtes vous ici, et avez-vous vu ces fissures s'aggraver, et à quelle vitesse ?
Si vous n'avez rien vu bouger depuis que vous êtes là, placez des témoins de plâtre dans les fissures qui vous inquiètent le plus(bouchez la fissure sur 5-10 cm avec du plâtre, après avoir bien mouillé la fente à cet endroit là, et lissez la surface), et vous surveillez si le plâtre se fissure.
S'il se fissure, là, ça veut dire que la fissure est active, et selon l'importance de ce que vous observez, il y aura urgence à déménager. Si tout est calme, vous pouvez à mon avis dormir tranquille. Cordialement.
Je comprends vos inquiétudes. En même temps, pour avoir toujours vécu dans des maisons anciennes que j'ai restaurées, j'ai appris que les fissures font partie de leur histoire. Elles traduisent leurs réactions aux différents stress qu'on leur impose (terrassements alentour, restaurations hasardeuses, négligences d'entretien sur les toitures en particulier). Le propriétaire a intérêt financièrement à dédramatiser... mais il est peut être techniquement averti, et honnête.
Rassurez-vous, dans des maisons plus modernes en apparence, si les habitants savaient ce qui se passe derrière de beaux placos fixés à la hussarde, ils préfèreraient peut-être vos fissures visibles !
Donc pour vous, ce qu'il faut savoir, c'est si ces fissures sont actives (danger !) ou passives (pas de danger, en gros les seuls préjudices actuels sont esthétiques). Pour répondre : depuis combien de temps êtes vous ici, et avez-vous vu ces fissures s'aggraver, et à quelle vitesse ?
Si vous n'avez rien vu bouger depuis que vous êtes là, placez des témoins de plâtre dans les fissures qui vous inquiètent le plus(bouchez la fissure sur 5-10 cm avec du plâtre, après avoir bien mouillé la fente à cet endroit là, et lissez la surface), et vous surveillez si le plâtre se fissure.
S'il se fissure, là, ça veut dire que la fissure est active, et selon l'importance de ce que vous observez, il y aura urgence à déménager. Si tout est calme, vous pouvez à mon avis dormir tranquille. Cordialement.
25 novembre 2009 à 11:03

Bonjour Véronique,
Qu'appelez-vous "les parties cimentées extérieures" ?
S'agit-il de votre enduit de façade ? En quel matériau sont vos murs ?
Si vous aviez une petite photo illustrant le problème...
Qu'appelez-vous "les parties cimentées extérieures" ?
S'agit-il de votre enduit de façade ? En quel matériau sont vos murs ?
Si vous aviez une petite photo illustrant le problème...
23 novembre 2009 à 23:50

Bonjour Yves,
Oui, à mon avis le mortier à maçonner conviendra (Le batardage pour la brique peut se faire ciment / chaux NHL, mais vous n'allez pas acheter 35 kg pour ça !).
Il faudra bien mouiller le support, et ne pas faire un mortier trop liquide, pour minimiser le retrait.
Si vous utilisez des pattes de scellement, je pense que vous n'avez pas besoin de tasseaux.
Mais c'est peut-être un peu plus difficile à ajuster.
Une autre solution encore, vous pourriez peut-être essayer de visser dans des chevilles pour matériau plein, après avoir percé dans les joints entre vos briques (si elles ont été bien jointoyées).
Cordialement.
Oui, à mon avis le mortier à maçonner conviendra (Le batardage pour la brique peut se faire ciment / chaux NHL, mais vous n'allez pas acheter 35 kg pour ça !).
Il faudra bien mouiller le support, et ne pas faire un mortier trop liquide, pour minimiser le retrait.
Si vous utilisez des pattes de scellement, je pense que vous n'avez pas besoin de tasseaux.
Mais c'est peut-être un peu plus difficile à ajuster.
Une autre solution encore, vous pourriez peut-être essayer de visser dans des chevilles pour matériau plein, après avoir percé dans les joints entre vos briques (si elles ont été bien jointoyées).
Cordialement.
22 novembre 2009 à 21:57

Bonjour,
Oui, la solution (1) est top. Si vos briques sont assez profondes, vous pouvez aussi faire des trous assez grands grands, et faire un scellement au mortier batard. Bien mouiller le support au pulvérisateur, jusqu'à refus, avant les scellements.
Oui, la solution (1) est top. Si vos briques sont assez profondes, vous pouvez aussi faire des trous assez grands grands, et faire un scellement au mortier batard. Bien mouiller le support au pulvérisateur, jusqu'à refus, avant les scellements.
20 novembre 2009 à 09:39

Bonjour,
Je lis la réponse de l'internaute (1)(nous avons dû répondre en même temps). Je confirme son avis. Vous pouvez badigeonner vos marches avec du sikalatex sur les surfaces qui vont se raccorder, pour améliorer l'adhérence.
J'ai du mal à savoir si vous aurez un grand volume à rajouter, si oui, vous pourriez noyer un peu de petit treillis métallique, éventuellement "planté" dans vos marches grâce à des petits trous percés juste au diamètre sur 1-2 cm.
Je lis la réponse de l'internaute (1)(nous avons dû répondre en même temps). Je confirme son avis. Vous pouvez badigeonner vos marches avec du sikalatex sur les surfaces qui vont se raccorder, pour améliorer l'adhérence.
J'ai du mal à savoir si vous aurez un grand volume à rajouter, si oui, vous pourriez noyer un peu de petit treillis métallique, éventuellement "planté" dans vos marches grâce à des petits trous percés juste au diamètre sur 1-2 cm.
16 novembre 2009 à 09:47

Bonjour,
Auriez-vous une photo de votre escalier ?
Pour ma part je pense que le siporex n'est pas adapté à cet usage, mais attendez d'autres avis.
Auriez-vous une photo de votre escalier ?
Pour ma part je pense que le siporex n'est pas adapté à cet usage, mais attendez d'autres avis.
15 novembre 2009 à 22:35

Bonjour,
Vous ne dites pas en quoi est le mur alentour, et comment il est enduit.
Si c'est un mur en pierres, vous pouvez tout à fait :
- brosser, gratter, faire tomber le maximum de bistre
- pulvériser du sikalatex (bidons jaunes en GSB) qui fera une sorte de barrière plus ou moins étanche au passage du bistre.
- faire un enduit au mortier de chaux (voir plus bas dans ce forum, où j'ai indiqué la technique) que vous pourrez facilement assortir avec le mur qui est à côté.
Quelquefois, avec cette technique, le bistre remonte encore un peu, mais s'estompe avec le temps.
Cordialement.
Vous ne dites pas en quoi est le mur alentour, et comment il est enduit.
Si c'est un mur en pierres, vous pouvez tout à fait :
- brosser, gratter, faire tomber le maximum de bistre
- pulvériser du sikalatex (bidons jaunes en GSB) qui fera une sorte de barrière plus ou moins étanche au passage du bistre.
- faire un enduit au mortier de chaux (voir plus bas dans ce forum, où j'ai indiqué la technique) que vous pourrez facilement assortir avec le mur qui est à côté.
Quelquefois, avec cette technique, le bistre remonte encore un peu, mais s'estompe avec le temps.
Cordialement.
15 novembre 2009 à 22:26

Bonjour,
Si vous avez une maison ancienne, elle a certainement un "équilibre".
Ce que vos maçons sont en train de faire, ça fait partie des choses qui peuvent tuer cet équilibre.
C'est difficile de se prononcer à distance, mais je serais tenté de vous conseiller de prendre l'avis d'autres artisans plus respectueux de l'habitat ancien pour la suite de vos travaux (si suite il y a).
Votre question porte sur l'avenir de l'humidité de votre "tout venant humide" (quelle horreur, au dessus d'une cave voutée, c'est un peu un massacre !).
Votre dessus de cave ne sera pas respirant (polyane, chape ciment). L'humidité va donc s'échapper :
- par les côtés et remonter dans les murs. Si ceux-ci n'ont pas encore été massacrés par des enduits étanches, ils s'en remettront.
- par le dessous. Si la voute de votre cave n'a pas encore été "tuée" par un enduit moderne, elle va gérer ça. Il faudra bien forcer l'aération de la cave, jusqu'à que tout soit rentré dans l'ordre.
Ce n'est qu'un avis, ne dramatisez pas, mais prenez plusieurs avis !
Bon courage pour la suite.
Si vous avez une maison ancienne, elle a certainement un "équilibre".
Ce que vos maçons sont en train de faire, ça fait partie des choses qui peuvent tuer cet équilibre.
C'est difficile de se prononcer à distance, mais je serais tenté de vous conseiller de prendre l'avis d'autres artisans plus respectueux de l'habitat ancien pour la suite de vos travaux (si suite il y a).
Votre question porte sur l'avenir de l'humidité de votre "tout venant humide" (quelle horreur, au dessus d'une cave voutée, c'est un peu un massacre !).
Votre dessus de cave ne sera pas respirant (polyane, chape ciment). L'humidité va donc s'échapper :
- par les côtés et remonter dans les murs. Si ceux-ci n'ont pas encore été massacrés par des enduits étanches, ils s'en remettront.
- par le dessous. Si la voute de votre cave n'a pas encore été "tuée" par un enduit moderne, elle va gérer ça. Il faudra bien forcer l'aération de la cave, jusqu'à que tout soit rentré dans l'ordre.
Ce n'est qu'un avis, ne dramatisez pas, mais prenez plusieurs avis !
Bon courage pour la suite.
15 novembre 2009 à 22:21

Bonjour,
Malgré toute la bonne volonté du monde, il manque beaucoup d'infos à votre descriptif pour pouvoir vous répondre correctement. Quel type de hotte, quel plafond, quel faux plafond, quels rails ?
Malgré toute la bonne volonté du monde, il manque beaucoup d'infos à votre descriptif pour pouvoir vous répondre correctement. Quel type de hotte, quel plafond, quel faux plafond, quels rails ?
13 novembre 2009 à 18:51

Bonjour à tous,
Cordial salut, Brigitte. Merci pour votre travail, et merci pour votre vigilance puisque vous venez d'éviter à Marie d'être spammée à vie ; -).
Marie, puisque vous êtes devenue une intox de la chaux, si vous avez quelques FS à dépenser, je ne saurais trop vous conseiller, à vous et à tous ceux qui sont intéressés par la chaux, le livre (incontournable, comme celui d'Oliva pour l'isolation) de l'École d'Avignon : TECHNIQUES ET PRATIQUE DE LA CHAUX. Vous avez aussi (à part les sites que j'ai indiqués plusieurs fois, tels que Terre, pierre et chaux, Cité maison, Tiez-Breiz etc.) un site très intéressant où vous trouverez beaucoup de fiches techniques pour la restauration (gratuites):
www.meda-corpus.net
Architecture Traditionnelle méditerranéenne.
Ces fiches se trouvent dans la rubrique : "plan du site" / "visite guidée" / "parcours dans les idées" "Manuel pour lentretien et la réhabilitation de larchitecture traditionnelle libanaise"
traditionnelle Libanaise
Bonne lecture, et à bientôt sur les ondes de Bricovideo (c'est idéal pour se détendre après une opération intensive truelle/Brouette)!
Cordialement.
Cordial salut, Brigitte. Merci pour votre travail, et merci pour votre vigilance puisque vous venez d'éviter à Marie d'être spammée à vie ; -).
Marie, puisque vous êtes devenue une intox de la chaux, si vous avez quelques FS à dépenser, je ne saurais trop vous conseiller, à vous et à tous ceux qui sont intéressés par la chaux, le livre (incontournable, comme celui d'Oliva pour l'isolation) de l'École d'Avignon : TECHNIQUES ET PRATIQUE DE LA CHAUX. Vous avez aussi (à part les sites que j'ai indiqués plusieurs fois, tels que Terre, pierre et chaux, Cité maison, Tiez-Breiz etc.) un site très intéressant où vous trouverez beaucoup de fiches techniques pour la restauration (gratuites):
www.meda-corpus.net
Architecture Traditionnelle méditerranéenne.
Ces fiches se trouvent dans la rubrique : "plan du site" / "visite guidée" / "parcours dans les idées" "Manuel pour lentretien et la réhabilitation de larchitecture traditionnelle libanaise"
traditionnelle Libanaise
Bonne lecture, et à bientôt sur les ondes de Bricovideo (c'est idéal pour se détendre après une opération intensive truelle/Brouette)!
Cordialement.
13 novembre 2009 à 10:14

Bravo, Marie, bien joué (pour l'architecte), mais faites gaffe, pas à un croc de boucher, chez nous l'idée passe mal ; -)
Vous n'avez pas que cellulaire et lambris, vous avez aussi fermacell, fibre de bois, laine de chanvre, enduit chaux chanvre, ouate de cellulose etc (je ne vous cite pas tout le bouquin de JP Oliva !)
Quant à la terrasse, attention, ne vous engagez pas à la légère, l'ai des antennes encore plus proches (Leysin...) et en plus j'ai l'accent presque suisse (savoyard) donc je passe inaperçu ; -)
A bientôt sur d'autres sujets ! Cordialement.
Vous n'avez pas que cellulaire et lambris, vous avez aussi fermacell, fibre de bois, laine de chanvre, enduit chaux chanvre, ouate de cellulose etc (je ne vous cite pas tout le bouquin de JP Oliva !)
Quant à la terrasse, attention, ne vous engagez pas à la légère, l'ai des antennes encore plus proches (Leysin...) et en plus j'ai l'accent presque suisse (savoyard) donc je passe inaperçu ; -)
A bientôt sur d'autres sujets ! Cordialement.
12 novembre 2009 à 09:57

Bonjour Marie,
Mais non, vous n'abusez pas. Il faudra que je vous donne un mail direct, car quelquefois, dans la foultitude des forums, je risque de zapper une demande de précision ; -)
Votre problème existe aussi en France, plus ou moins selon les endroits. La chaux a été bannie pendant longtemps au profit des matériaux dis "modernes". Sachant qu'il y a deux grandes familles, la chaux aérienne et la chaux hydraulique, beaucoup de GSB n'ont que de la chaux batardée au ciment (NHL3,5-Z par exemple, le -Z indiquant le batardage) mais ils la vendent pour de la chaux normale. D'autres ne connaissent pas la chaux aérienne... Bref, c'est parfois la galère pour s'approvisionner.
Vous pouvez aller sur le site de Saint Astier par exemple :
www.c-e-s-a.fr
ou sur celui de Balthazard et Cotte :
www.balthazard.com/fr
où vous trouverez explications et références, ainsi que fiches techniques.
sachant que ce sont des marques françaises, mais qu'il y en a d'autres.
OK pour les honoraires, ça me va parfaitement ; -)
Cordialement.
Mais non, vous n'abusez pas. Il faudra que je vous donne un mail direct, car quelquefois, dans la foultitude des forums, je risque de zapper une demande de précision ; -)
Votre problème existe aussi en France, plus ou moins selon les endroits. La chaux a été bannie pendant longtemps au profit des matériaux dis "modernes". Sachant qu'il y a deux grandes familles, la chaux aérienne et la chaux hydraulique, beaucoup de GSB n'ont que de la chaux batardée au ciment (NHL3,5-Z par exemple, le -Z indiquant le batardage) mais ils la vendent pour de la chaux normale. D'autres ne connaissent pas la chaux aérienne... Bref, c'est parfois la galère pour s'approvisionner.
Vous pouvez aller sur le site de Saint Astier par exemple :
www.c-e-s-a.fr
ou sur celui de Balthazard et Cotte :
www.balthazard.com/fr
où vous trouverez explications et références, ainsi que fiches techniques.
sachant que ce sont des marques françaises, mais qu'il y en a d'autres.
OK pour les honoraires, ça me va parfaitement ; -)
Cordialement.
11 novembre 2009 à 11:14

Bonjour,
Je ne connais pas le pudding, est-ce que ça pourrait-être ce qu'on appelle ici le mâchefer ? Merci de vos explications.
Je ne connais pas le pudding, est-ce que ça pourrait-être ce qu'on appelle ici le mâchefer ? Merci de vos explications.
11 novembre 2009 à 10:46

Bonjour,
je suis d'accord avec l'internaute (1). Si vous n'aimez pas le placo, votre configuration se prête bien à un prolongement en ossature bois.
je suis d'accord avec l'internaute (1). Si vous n'aimez pas le placo, votre configuration se prête bien à un prolongement en ossature bois.
10 novembre 2009 à 15:02

Bonjour,
Je ne suis pas assez au fait des règlementations du bâtiment. Peut-être quelqu'un de plus pointu sur les DTU etc. , passant par là, pourra vous répondre. Souvent, on voit que ces choses là sont ensuite cachées par des enduits plus ou moins "plastiques", mais je ne suis pas un adepte de ces solutions. Cordialement.
Je ne suis pas assez au fait des règlementations du bâtiment. Peut-être quelqu'un de plus pointu sur les DTU etc. , passant par là, pourra vous répondre. Souvent, on voit que ces choses là sont ensuite cachées par des enduits plus ou moins "plastiques", mais je ne suis pas un adepte de ces solutions. Cordialement.
10 novembre 2009 à 09:52

Bonjour,
Bien sûr, internaute (3) ! Je suis d'accord. Vous êtes donc un partisan de la solution "bocal" et ça marche bien si on met une VMC dans le bocal ; -)
Si vous avez lu en (1), je disais "si vous gardez l'option "bocal", il faudra ventiler, ventiler, ventiler, VMC simple flux, double flux... tout est permis à condition d'extraire l'air humide et de le remplacer par de l'air neuf (froid ou chaud selon la saison), donc de gaspiller des calories... et de gérer, plus ou moins bien, de l'inconfort.
Ma contribution était simplement d'essayer d'analyser, avec l'internaute qui n'arrive pas à comprendre ce qui se passe chez lui, qu'il y a des matériaux d'aménagement ou de restauration qui, mal choisis, souvent d'ailleurs sur le conseil avisé de vendeurs qui n'y connaissent rien, peuvent casser un équilibre existant.
Quand on regarde le bilan thermique d'une maison classique, on s'aperçoit que 30% part par la toiture, et 20% par l'air renouvelé. Alors OK, ventilez, ventilez !
Merci, Marie, d'avoir donné votre expérience (2), qui illustre parfaitement ce problème.
Bien sûr, internaute (3) ! Je suis d'accord. Vous êtes donc un partisan de la solution "bocal" et ça marche bien si on met une VMC dans le bocal ; -)
Si vous avez lu en (1), je disais "si vous gardez l'option "bocal", il faudra ventiler, ventiler, ventiler, VMC simple flux, double flux... tout est permis à condition d'extraire l'air humide et de le remplacer par de l'air neuf (froid ou chaud selon la saison), donc de gaspiller des calories... et de gérer, plus ou moins bien, de l'inconfort.
Ma contribution était simplement d'essayer d'analyser, avec l'internaute qui n'arrive pas à comprendre ce qui se passe chez lui, qu'il y a des matériaux d'aménagement ou de restauration qui, mal choisis, souvent d'ailleurs sur le conseil avisé de vendeurs qui n'y connaissent rien, peuvent casser un équilibre existant.
Quand on regarde le bilan thermique d'une maison classique, on s'aperçoit que 30% part par la toiture, et 20% par l'air renouvelé. Alors OK, ventilez, ventilez !
Merci, Marie, d'avoir donné votre expérience (2), qui illustre parfaitement ce problème.
09 novembre 2009 à 21:24

Bonjour à tous,
Vous pouvez vous reporter à la question déjà posée en 3982.
Vous pouvez vous reporter à la question déjà posée en 3982.
09 novembre 2009 à 21:09

Bonjour,
Cette cave va être magnifique.
Je vous conseillerais une petite dalle/chape en sable/billes d'argile/ chaux, ce sera un excellent régulateur d'humidité. Et pour les murs, après brossage et préparation, un simple rejointoiement en mortier de chaux. Surtout pas de ciment là dedans ! J'ai donné des éléments et des liens à plusieurs reprises dans ce forum. C'est un chantier très sympa. Bon courage !
Cette cave va être magnifique.
Je vous conseillerais une petite dalle/chape en sable/billes d'argile/ chaux, ce sera un excellent régulateur d'humidité. Et pour les murs, après brossage et préparation, un simple rejointoiement en mortier de chaux. Surtout pas de ciment là dedans ! J'ai donné des éléments et des liens à plusieurs reprises dans ce forum. C'est un chantier très sympa. Bon courage !
09 novembre 2009 à 09:28

Bonjour Marie,
Non, je ne suis pas à Toulouse, je suis assez proche de la Suisse (pour le déjeuner !) Toulouse, c'était comme exemple d'habitat réussi, sur la base de la brique ; -)
Quant à votre choix de cellulaire, ça se défend !
Bravo pour votre démarche ! En France aussi, ça bouge lentement, et le tout placo, l'enduit ciment sur mur pierre, les solvants et autres produits cancérigènes, etc, commencent à ne plus être considérés comme les seuls choix "modernes".
On commence à redécouvrir aussi que les murs épais, s'ils ont été bien traités, ne sont pas de mauvais isolants et que leur inertie peut être une alliée...
Oui, ça bouge un peu.
Merci pour vos indications. Bonne suite pour vos projets. A bientôt, cordialement.
Non, je ne suis pas à Toulouse, je suis assez proche de la Suisse (pour le déjeuner !) Toulouse, c'était comme exemple d'habitat réussi, sur la base de la brique ; -)
Quant à votre choix de cellulaire, ça se défend !
Bravo pour votre démarche ! En France aussi, ça bouge lentement, et le tout placo, l'enduit ciment sur mur pierre, les solvants et autres produits cancérigènes, etc, commencent à ne plus être considérés comme les seuls choix "modernes".
On commence à redécouvrir aussi que les murs épais, s'ils ont été bien traités, ne sont pas de mauvais isolants et que leur inertie peut être une alliée...
Oui, ça bouge un peu.
Merci pour vos indications. Bonne suite pour vos projets. A bientôt, cordialement.
08 novembre 2009 à 22:13

Bonjour,
Ce n'est pas impossible. Il y a parfois des cloisons qui sont plus porteuses qu'elles n'en ont l'air, dans ces vieux bâtiments.
Quoiqu'il en soit, si l'affaissement a été relativement récent et rapide, si vous êtes locataire, je pense que vous auriez intérêt à impliquer rapidement votre bailleur.
Propriétaire, votre multirisques pourra également intervenir et dépêcher une expert.
Ce n'est pas impossible. Il y a parfois des cloisons qui sont plus porteuses qu'elles n'en ont l'air, dans ces vieux bâtiments.
Quoiqu'il en soit, si l'affaissement a été relativement récent et rapide, si vous êtes locataire, je pense que vous auriez intérêt à impliquer rapidement votre bailleur.
Propriétaire, votre multirisques pourra également intervenir et dépêcher une expert.
08 novembre 2009 à 22:01

Bonjour,
Normal ? je ne sais pas si on peut dire ça. Disons que ça arrive selon le mode de réalisation de l'enduit... entre autres sur des murs où l'enduit a été fait vite, sans gobetis.
Normal ? je ne sais pas si on peut dire ça. Disons que ça arrive selon le mode de réalisation de l'enduit... entre autres sur des murs où l'enduit a été fait vite, sans gobetis.
05 novembre 2009 à 18:11

Bonjour,
Vous avez probablement trouvé vous-même l'explication : "J'ai juste refait les enduits et peinture".
Je prends un exemple : si vous avez un mur ancien, enduit à la chaux, décoré avec un badigeon ou une eau forte... qui étaient jolis au départ, et qui sont défraichis, vous avez un intérieur à l'aspect vétuste, mais très sain et très respirant. Dans un souci louable, si vous faites là dessus une magnifique peinture glycéro bien étanche, vous transformez instantanément votre pièce saine en une sorte de bocal inconfortable.
Dans votre cas, si l'hypothèse est la bonne (ce qu'il vous suffira de vérifier), si vous gardez l'option "bocal", il faudra ventiler, ventiler, ventiler, VMC simple flux, double flux,... tout est permis à condition d'extraire l'air humide et de le remplacer par de l'air neuf (froid ou chaud selon la saison), donc de gaspiller des calories... et de gérer, plus ou moins bien, de l'inconfort.
Je caricature bien sûr, mais c'est pour mieux montrer l'enjeu qu'il y a aujourd'hui, entre les partisans du tout placo, des peintures glycéro,... et des VMC sophistiquées, adaptées à des constructions récentes "tout béton", et d'autres écoles de rénovation, qui utilisent à fond les propriétés respirantes des murs anciens, la masse thermique des murs (en évitant de la "neutraliser" par une isolation intérieure mal pensée), etc.
Votre choix n'est pas simple. Je ne veux pas vous influencer, et je ne le peux pas : sans avoir fait un diagnostic précis de votre appartement, c'est impossible. C'est juste quelques pistes de réflexion. Bien sûr, si mon hypothèse n'est pas bonne, nous pourrons prolonger l'expertise sur ce fil de discussion en fonction d'autres éléments que vous pourrez apporter. Cordialement.
Vous avez probablement trouvé vous-même l'explication : "J'ai juste refait les enduits et peinture".
Je prends un exemple : si vous avez un mur ancien, enduit à la chaux, décoré avec un badigeon ou une eau forte... qui étaient jolis au départ, et qui sont défraichis, vous avez un intérieur à l'aspect vétuste, mais très sain et très respirant. Dans un souci louable, si vous faites là dessus une magnifique peinture glycéro bien étanche, vous transformez instantanément votre pièce saine en une sorte de bocal inconfortable.
Dans votre cas, si l'hypothèse est la bonne (ce qu'il vous suffira de vérifier), si vous gardez l'option "bocal", il faudra ventiler, ventiler, ventiler, VMC simple flux, double flux,... tout est permis à condition d'extraire l'air humide et de le remplacer par de l'air neuf (froid ou chaud selon la saison), donc de gaspiller des calories... et de gérer, plus ou moins bien, de l'inconfort.
Je caricature bien sûr, mais c'est pour mieux montrer l'enjeu qu'il y a aujourd'hui, entre les partisans du tout placo, des peintures glycéro,... et des VMC sophistiquées, adaptées à des constructions récentes "tout béton", et d'autres écoles de rénovation, qui utilisent à fond les propriétés respirantes des murs anciens, la masse thermique des murs (en évitant de la "neutraliser" par une isolation intérieure mal pensée), etc.
Votre choix n'est pas simple. Je ne veux pas vous influencer, et je ne le peux pas : sans avoir fait un diagnostic précis de votre appartement, c'est impossible. C'est juste quelques pistes de réflexion. Bien sûr, si mon hypothèse n'est pas bonne, nous pourrons prolonger l'expertise sur ce fil de discussion en fonction d'autres éléments que vous pourrez apporter. Cordialement.
05 novembre 2009 à 09:52

Bonjour Marie,
D'après ce que vous me dites de vos murs "de la brique, et un genre de ciment-mortier vieux d'un siècle au moins, qui s'effrite juste un peu par endroits, sans gravité. " cela me parait presque à coup sûr un mortier de chaux. Si on insiste, ça part en poussière alors qu'un enduit ciment est dur et part par morceaux.
Alors c'est parfait ! Vous avez de la chance ! Vous auriez même pu faire là-dessus (mais c'est une autre histoire, puisque vous êtes partie en cellulaire...) un enduit chaux-chanvre...
Le nom de votre apprêt et de de votre crépi m'intéresserait, à l'occasion...
Merci à vous. Cordialement.
D'après ce que vous me dites de vos murs "de la brique, et un genre de ciment-mortier vieux d'un siècle au moins, qui s'effrite juste un peu par endroits, sans gravité. " cela me parait presque à coup sûr un mortier de chaux. Si on insiste, ça part en poussière alors qu'un enduit ciment est dur et part par morceaux.
Alors c'est parfait ! Vous avez de la chance ! Vous auriez même pu faire là-dessus (mais c'est une autre histoire, puisque vous êtes partie en cellulaire...) un enduit chaux-chanvre...
Le nom de votre apprêt et de de votre crépi m'intéresserait, à l'occasion...
Merci à vous. Cordialement.
04 novembre 2009 à 13:56

Bonjour, Marie.
C'est trop d'honneur, je ne sais plus où me cacher ; -)
Les maçons sont durs à convaincre, beaucoup ne connaissent plus que le mortier et le béton "Mc Donald" ! Mais vous y parviendrez. A Toulouse (entre autres), ils ont fait toute une ville comme ça ! Vous pouvez aussi faire vous même : avec la chaux, tout est moins speed, ça ne tire pas vite, on peut retoucher, bref... un autre univers !
Le mortier de chaux, ce sera simple, vous verrez. Il y a d'ailleurs des sites de passionnés de l'habitat traditionnel : Terre, Pierre et Chaux, Cité maison, Tiez Breiz, etc. On pourra en reparler... Bon courage pour vos travaux. Cordialement.
C'est trop d'honneur, je ne sais plus où me cacher ; -)
Les maçons sont durs à convaincre, beaucoup ne connaissent plus que le mortier et le béton "Mc Donald" ! Mais vous y parviendrez. A Toulouse (entre autres), ils ont fait toute une ville comme ça ! Vous pouvez aussi faire vous même : avec la chaux, tout est moins speed, ça ne tire pas vite, on peut retoucher, bref... un autre univers !
Le mortier de chaux, ce sera simple, vous verrez. Il y a d'ailleurs des sites de passionnés de l'habitat traditionnel : Terre, Pierre et Chaux, Cité maison, Tiez Breiz, etc. On pourra en reparler... Bon courage pour vos travaux. Cordialement.
04 novembre 2009 à 13:49

Bonjour,
Compte-tenu de la complexité de votre projet (qui comporte des risques !) je ne peux que vous conseiller la lecture de l'excellente fiche " Création d'une ouverture" sur un site remarquable : Tiez-Breiz - Maisons et paysages de Bretagne
www.tiez-breiz.org
Cordialement.
Compte-tenu de la complexité de votre projet (qui comporte des risques !) je ne peux que vous conseiller la lecture de l'excellente fiche " Création d'une ouverture" sur un site remarquable : Tiez-Breiz - Maisons et paysages de Bretagne
www.tiez-breiz.org
Cordialement.
04 novembre 2009 à 13:42

OK, Marie. C'est votre couche d'apprêt qui m'interpelle ; -) Est-ce que ce n'est pas étanche, ce genre de perlin pinpin ?
Par curiosité, en quels matériaux sont vos murs "pas très droits" (corps du mur et enduit) ?
Par curiosité, en quels matériaux sont vos murs "pas très droits" (corps du mur et enduit) ?
02 novembre 2009 à 22:39

Bonjour Marie,
Vous avez raison, quel dommage de les évacuer, ça vous coute cher et ce que vous achèterez encore plus cher pour faire votre mur ne sera même pas aussi solide !
Si vous construisez un mur avec du mortier de chaux (NHL) et vos briques concassées, ça ressemblerait à ce qu'on appelle du "béton romain". C'est hyper solide. Pas besoin de les faire sécher, mais au contraire les laisser s'humidifier (sauf si vous voulez les utiliser entières et que vous craignez le gel). Sinon, à la pose, elles vont pomper la laitance et votre mortier ne les scellera pas correctement. D'ailleurs, en général, on les trempe dans l'eau avant la pose.
Quant au salpêtre, je ne comprends pas. C'est juste le contraire : un mur en brique et mortier de chaux (attention, je ne parle pas de ciment !) est un bon régulateur d'humidité et pour ma part, je n'ai jamais vu de salpêtre sur ce type de mur. Sur des murs en ciment, oui, salpêtre à volonté lorsqu'il y a environnement humide.
Cordialement.
Vous avez raison, quel dommage de les évacuer, ça vous coute cher et ce que vous achèterez encore plus cher pour faire votre mur ne sera même pas aussi solide !
Si vous construisez un mur avec du mortier de chaux (NHL) et vos briques concassées, ça ressemblerait à ce qu'on appelle du "béton romain". C'est hyper solide. Pas besoin de les faire sécher, mais au contraire les laisser s'humidifier (sauf si vous voulez les utiliser entières et que vous craignez le gel). Sinon, à la pose, elles vont pomper la laitance et votre mortier ne les scellera pas correctement. D'ailleurs, en général, on les trempe dans l'eau avant la pose.
Quant au salpêtre, je ne comprends pas. C'est juste le contraire : un mur en brique et mortier de chaux (attention, je ne parle pas de ciment !) est un bon régulateur d'humidité et pour ma part, je n'ai jamais vu de salpêtre sur ce type de mur. Sur des murs en ciment, oui, salpêtre à volonté lorsqu'il y a environnement humide.
Cordialement.
02 novembre 2009 à 22:34

Bonjour,
Il va être difficile de faire simple sans (au minimum) traiter les fissures.
Vos briques sont hourdies au mortier de chaux ? Et savez-vous quel type d'enduit se trouve sous cette peinture rouge ?
Il va être difficile de faire simple sans (au minimum) traiter les fissures.
Vos briques sont hourdies au mortier de chaux ? Et savez-vous quel type d'enduit se trouve sous cette peinture rouge ?
02 novembre 2009 à 22:22

Bonjour,
Le béton cellulaire serait perméable à la vapeur d'eau, mais... avec quoi pensez-vous faire la finition ?
Le béton cellulaire serait perméable à la vapeur d'eau, mais... avec quoi pensez-vous faire la finition ?
31 octobre 2009 à 21:17
