Bonjour Phonolix.

Un croquis en coupe aurait été souhaitable avec les différentes indications de niveau : fondations /mur / terre et drain.
Si vraiment vous souhaitez supprimer chaque parpaing de la base, sur toute la longueur du mur, il serait sans doute plus simple et économique de démolir et de refaire à neuf.
Si la base est vraiment dégradée comme vous l'indiquez, on pourrait penser qu'il y a un certain tassement de la partie saine.

Pour une réparation partielle, ce pourrait être en effet avec coffrage et remplissage en béton classique bien dosé.
Pour un renfort de la base, un contrefort en pente débordant pourrait être envisagé (si c'est bien sur votre propriété).
Cordialement. Gad

Bonjour et Merci Gad,

Aucun élément visible ne permet de conclure à un tassement de la partie supérieure (pas de fissure ou de rupture de joints), j'ai toutefois vérifié l'écart entre la hauteur des parpaings de 5ème rang et ma ligne d'équi-niveau.
Rien ne permet de conclure à un tassement.

Sur le 1er rang (la longueur de 8m sur 10) n'est pas dégradé de façon uniforme et je présume que des parties transversales ont résisté. De plus, j'ai détecté 2 montants verticaux au détecteur de métaux à 3,5 et 7 mètres ainsi qu'aux extrémités.
D'autres coulures verticales existent également mais mon détecteur de métaux n'a rien détecté.
Cela contribue sans doute à l'absence de tassement !

Je vous joins le profil du mur qui n'est pas forcément avantageux pour un coffrage/remplissage à la base.

Solution 1 (Coffrage + Béton) : A l’extérieur, si j'empiète sur la largeur de cunette pour le remplissage par le haut, je réduis l'espace disponible pour le drain (largeur 20cm).
A l’intérieur un élargissement ne repose sur rien et il faudra sans doute "couper" du macadam pour le coffrage.
La grande question est donc : Quelle astuce pour faire une coulée qui remplisse toute la hauteur avec un coffrage de la largeur du parpaing ? Photo 1

Solution 2 : Pour une réparation du 1er rang, la solution consistant à remplacer les parpaings par du parpaing neuf (plein ou après remplissage) est-elle viable ?
- difficulté pour le jointage vertical entre 2 parpaings l
- comment assurer une bonne liaison entre le 1er rang et le 2ème rang sachant que l'accessibilité est réduite (1 cm de hauteur pour introduire le mortier).

SOLUTION 3 : Découpe partielle des parties endommagées des parpaings et du mortier qui supporte ces parties suivi d'un remplissage des vides et des parois supprimées !
Est-ce possible ? Avec Quoi et Comment ? La solidité est-elle équivalente aux parpaings + mortier d'origine ?

Merci pour vos retours.

Concernant la cunette et son profil qui doit être repris dans une 2ème étape, je vous joins le profil.
Il permet surtout de constater la grosse poche qui justifie la dégradation du parpaing dont la couche superficielle d'enduit brossé n'a pas résisté. La cause de cette bosse est une surélévation bétonnée de 6 cm sur la cunette après le 8ème mètre.
Photo 2
Seul le métrage de 0 à 10m est concerné par le sujet en cours.

Bien Cordialement.

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Bonjour Phonolix.

Merci pour vos croquis précis. Si je comprends bien, vous nommez la partie enterrée "extérieur" et donc la partie côté bitume "intérieur". C'est donc la base du mur enterré qui est détériorée.
Au vu du croquis 1 on peut supposer qu'il manque : un enduit dégrossi étanche sur le mur, une membrane de protection descendant jusqu'à la base du drain et des pissettes évacuant l'excédant d'eau vers le bitume.

Vos différentes réflexions :
- S1 - C'est à mon avis la plus rationnelle. Briser les parties fragilisées sur les parpaings concernés et remplir de béton avec un coffrage évolutif (croquis si besoin). Bien tassé, le béton suffisamment liquide sans excès pénétrera au maximum. Rebouchage de vides éventuels après décoffrage, prévoir la pose des pissettes, puis enduit et membrane. Une surépaisseur de béton n'est pas utile, mais pourrait être envisagée sur quelques cm.

- S2 - Pas facile de découper proprement et comme vous l'indiquez, difficulté pour réaliser les joints.

- S3 - Correspond sensiblement à S1 dans ma réponse. Je vous ai indiqué "briser" (en douceur), plus facile que découper et permet un meilleur accrochage.

Voici donc mon point de vue.
Bonne réflexion et réfection... Gad

Bonjour Gad et et merci pour ces retours.

J'apporte des précisions avec croquis sur ce que j'entendais par S1 et S3 pour m'assurer d'être en phase vos commentaires.
Concernant S1, je joins un croquis S1 sur les intentions initiales. Il
s'agit de supprimer toutes les parois basses intérieur extérieur et centrales (environ les 18 premiers cm) du parpaing ainsi que le mortier bas.
Pour le coulage béton, le remplissage semble plus évident avec des liaisons basse et haute sur toute la largeur de parpaing (meilleure résistance mécanique ?).

Concernant S3, le croquis indique les éléments plus réduit à supprimer sur les parois.
Des parties d'alvéoles et parois sont donc conservées.
Pour cette solution mes interrogations sont plus nombreuses :
- Faut-il couler chaque alvéole séparément (8 alvéoles) sachant que toutes les parois centrales ne sont pas -dégradées et que les parois intérieures et extérieures ne sont pas dégradées sur la même hauteur ?
- Quel espacement minimum est requis entre une paroi verticale et le socle pour que le béton coule d'une paroi à l'autre.
- Un écoulement gravitaire du béton avec principe des vases communicants entre parois permet-t-il de remplir suffisamment les alvéoles au-dessus de la base de leurs parois ?
- est-ce aussi "robuste" que la solution S1 ?

Je retiens également que la brisure est plus avantageuse ( Je pensais que la découpe ne générait pas de choc) !
Concernant le "coffrage évolutif (croquis si besoin)", je suis preneur de vos suggestions et de toute source d'information car quelle que soit la solution retenue :
- existe-t-il une définition et des bonnes pratiques connues pour le coffrage évolutif ?
- à largeur de parpaing constante sans dégrader les parpaings supérieurs, une arrivée de coulage (latérale ) est sans doute à prévoir.

Mes recherches sur ce dernier point ne m'ont pas amener à grand chose de concret si ce n'est quelques idées liées au coulage de linteaux en sous-œuvre :
- Coulage avec un décoffrage dès le lendemain pour supprimer les surépaisseurs créés pour le coulage!
- Coffrage avec ouverture centrale en pente pour le coulage.
Encore merci pour vos angles d'observation pour prendre de la hauteur sur ma réflexion...

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Bonjour Phonolix.

Votre souhait de casser un grand nombre de cloisons m'inquiète un peu.
Vous risquez de fragiliser le mur avant qu'il ne soit renforcé. C'est du gros œuvre, il s'agit de remplir au mieux les vides, ce n'est pas à ce niveau que se fera l'étanchéité, mais bien avec les éléments que je suppose manquants et indiqués ci-dessus.

Donc, remplissage avec coffrage ou par des trous dans les parpaings permettant de remplir avec une langue de chat puis tassement au mieux.
Pour un parfait remplissage, il faudrait pouvoir le faire à la pompe.
Oubliez le principe des vases communicants, il faudrait vraiment que le mortier soit très très liquide ce qui nuirait à sa qualité.

Le croquis ci-joint peut vous donner une idée pour un coffrage dit "évolutif" pour la surface d'un parpaing.
Fabrication à partir de lames de bois (plinthe de sapin de 70 x 13 mm par exemple).
Deux montants vissés sur une base et des lames ajoutées au fur et à mesure du remplissage.
Fixation de la base par deux chevillettes puis deux autres en tête après remplissage.
Bien humidifier le mur, décoffrage suivant la prise du ciment et protection contre la chaleur pour éviter un durcissement complet trop rapide.

Cordialement. Gad

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Bonjour Gad.

Merci pour ce croquis qui clarifie le principe de coffrage progressif pour faciliter le remplissage depuis la base.

Concernant l'inquiétude (contagieuse) relatif à la suppression des cloisons, il s'avère (après inspection plus profonde sous parpaing et sur plusieurs mètres de longueur) que la plus part des parois centrales se désagrègent sur 10 cm de hauteur sans effort.
Les extrémités de parpaing (coté extérieur enterrés) se désagrègent aussi.
Il reste donc à la jonction de 2 parpaings une colonne verticale de mortier.
J'extraie donc un composé gravillon/sable/boue marronnante !

La paroi de parpaing la mieux conservée est celle de la face intérieure du mur.
Les 2 coulées verticales (avec métaux détectées) sont mises à jour, sur le contour accessible de ces coulées le mortier est "légèrement friable"

Ce premier rang de parpaings du mur dispose donc d'une surface de repos sur la semelle très limitée.
Il est clair que ce n'est pas lui qui contribue actuellement à la bonne tenue du mur !
Pourquoi la suppression de quelques centimetres de plus sur ces parpaings risquet-elle de fragiliser le mur ?

Je n'ai pas encore poussé l'inspection jusqu'au bout (déterminer les hauteurs "solides" conservables, nettoyage de la base , volumes requis ).
Concernant le matériau de remplissage vous citer du "mortier".
Le béton (avec une taille de grain < 10) n'est-il pas plus indiqué pour restaurer la résistance mécanique du mur ?

Les sacs de béton pré-mélangés disponibles dans les commerces (pour les non pro ) sont-lls conseillés ?
Exemple :
- PRB Béton Courant
- PRB HR (haute Résistance)
- PRB Béton Fibré
- Béton Fibré VPI
- Lafarge - Béton prêt à l'emploi
- Le Béton Français C35/45 Haute Performance
- Sacamat Béton Pro C35/45

Un matériau qui semble attractif est le BFUP (plus résistant, plus compact (moins poreux), plus liquide pour la mise en œuvre (avec moins d'eau).
La réalité économique me rattrape ... le mur en parpaing n'est pas un ouvrage d'art, cela explique sans doute qu'il faille consulter les "grands" pour qu'ils fassent une offre !
Sika vends un mortier de Réparation structurale coulable Rapide(sac de 25 kg).
Ce type de produit est-il adapté ?
Indépendamment du coût (5 à 10X celui des bétons cités), une difficulté serait sans doute la la réalisation de coffrage étanche sur des surfaces qui ondulent.

Encore merci pour vos retours.
Bien Cordialement Phonolix

Bonjour Phonolix.

Les dégradations que vous décrivez de nouveau pourraient faire penser à une fabrication de parpaings avec du sable de mer mal lavé.

Perso, avant de poursuivre "l'épuration", je commencerais les réparations, le rebouchage sur une certaine longueur.
Cela renforcerait le mur et vous auriez une idée de la quantité de béton à vous procurer.

Béton, en effet pour de gros volumes.
De préférence, si vous le souhaitez les produits " haute performance / haute résistance" de PRB ou des deux derniers de votre liste, selon les disponibilités. Pas de fibré ni pour "réparation rapide" pour un tel volume.
Sinon, mélangé par vous-même , ciment + sable sec de 0/4 et gravillons de 4 /12 maxi.
Je ne saisis pas bien "les surfaces qui ondulent" ....

L'important c'est de remplir les vides au mieux assez rapidement, progressivement.
La protection se fera par ce que je vous ai déjà indiqué : membrane sur la partie enterrée alvéolée ou non, descendant jusqu'à la base du drain (de bonne dimension) recouvert par une bande de géotextile.
La membrane doit avoir les différents éléments parfaitement embattus et maintenus par de l'adhésif.
Les pissettes, si vous en disposez doivent être au niveau inférieur du drain.

Il n'a pas été question d'enduit sur le mur.
S'il y a lieu, strier le béton démoulé, avant durcissement complet pour faciliter l'adhérence.
Protégez le béton frais de la chaleur. Excusez moi si je me répète...

Cordialement. Gad

Bonjour Gad,
Je retiens vos conseils sur le choix du matériau.

J'ai bien l'intention d'amorcer le rebouchage avec éventuellement un essai sur du parpaing hors mur avec formation de"brisure en douceur" préalable et familiarisation avec la consistance du béton.

Dans le mur je me limiterai à une première longueur d'1 à 2 parpaings maximum pour me familiariser avec l'opération.
Concernant les quantités de matériau, une première approche estimative basé sur S1 (qui supposait la suppression intégrale des parois) aboutissait à 800 kg de béton sec :
- 10 mètres de longueur correspondaient à 20 parpaings de 20 litres soit un volume de 400 litres
- les fournisseurs de béton sec indique en moyenne 20 kg de leur produit pour obtenir 10 litres de béton ce qui nous amène à 400x20/10 soit 800kg.
Cette hypothèse est maximaliste et un essai sur ce qui sera la solution pertinente pour le remplissage sera déterminante.

Concernant les "surfaces qui ondulent" je clarifie mes propos.
La face verticale des parpaings la plus endommagée se situe du côté extérieur, la cunette (qui a bien résisté à l'eau) s'appuyait directement sur cette face verticale.
A la jonction parpaing/cunette, la cunette est à hauteur variable.
Cette ligne d'extrémité de cunette est donc loin d’être une droite ou surface plane.
C'est sur elle que le point bas du coffrage est sensé prendre appui.
Sans action pour "aplanir" la cunette, le béton risque de s'échapper !
La surface qui ondule est donc ce point de contact entre coffrage et cunette.

Concernant le coffrage,
Étant donné que les parois transversales aux extrémités de parpaings ont disparu et que certains joints/mortier ressemblent plus à des stalactites qu'à des colonnes, des parois de coffrage transversales seront également à prévoir.

Concernant le remplissage du vide au mieux, il m'apparait déjà que la paroi verticale du parpaing (côté cunette) devra être enlevée sur les 18 cm de hauteur afin de faciliter l'accès et de "remplir" les vides.
Concernant les paroi verticales des parpaings côté mur intérieur , suite à vos conseils je préférerai les conserver.
Les essais me permettront de savoir ce qui est faisable ou non !

Concernant les pissettes sous le niveau du drain, je suis dans le parfait inconnu.
En quoi cela consiste-t-elle sachant que :
- à l’extérieur, un tuyau de drain (surmonté de cailloux, géotextile et roche & terre) reposera sur la cunette pour évacuer l'eau vers l'exutoire à 15 mètres (pente de Cunette à réviser ou obstacle à supprimer).
- à l'intérieur du mur, le macadam de l'abri est au sec sachant qu'une charpente/couverture qui repose sur 6 plots garde cet espace au sec.

Consistance du béton : j'ai cru comprendre que pour obtenir un béton compact et limiter la porosité un faible rapport Eau/Ciment est préférable pour résister aux agressions de l'eau.
L'essai sur parpaing indépendant me permettra de me faire une opinion sur la consistance qui facilite le remplissage, l’adhérence pendant le remplissage en évitant un sur ou sous dosage de l'eau.

Étanchéité du mur externe :
Compte-tenu de la dégradation actuelle, j'avais d’abord pensé à une surcouche de 2 centimètres type imperméabilisant de piscine (SIKA MONOTOP 140 Imper (20kg/m²).
Il existe également un produit : PRB Imperfond (Mortier d’imperméabilisation épais pour parois enterrées et piscines), épaisseur 8 à 20 mm, peut rester nu en partie enterrée.
Il y a bien sûr la solution à base de membrane que vous me proposez.
A quelques encablures à une altitude de 1000m, une construction pas tout à fait achevée avec un remblaiement à 45° le long d'un mur latéral révélait le procédé employé :
- un enduit noir directement sur le béton,
- une membrane plate de 6 à 8 mm (souple et solide faisait penser de la matière vulcanisée) visser sous réglette en hauteur,
- une membrane fine alvéolée ... en état de décomposition dispersée au pied du mur !

Pour l'instant je mets cet aspect étanchéité en sursis pour me consacrer à la base du mur.
Néanmoins votre remarque suggérant de strier le béton démoulé suppose que je me positionne rapidement (PRB Imperfond ?).

Pour la mise en œuvre, je retiens la nécessité d'abriter le béton de la chaleur.
En plus de bâches au dessus de la tranchée, je rapprocherai sans doute des tissus mouillés des zones fraiches.

Concernant votre suggestion de "fabrication de parpaings avec du sable de mer mal lavé", je vous joins des photos pour apprécier la décomposition du parpaing et du mortier de liaison.
Personnellement par endroit j'avais l'impression de membrane élastique lorsque j'appuyais sur les zones les plus dégradées non trouées.
J'ai découvert qu'il existe des normes pour le béton en immersion.
Hélas je doute que le parpaing soit étudié pour cet environnement ; l'ex propriétaire avait laissé du parpaing dans un bassin comme refuge pour poisson.
Ils ne sont pas en très bon état ... ces parpaings. Les goujons se portent bien.

L'avant dernière photo montre un parpaing en bonne santé (haut du mur).
La dernière est un éclat du béton de la semelle (qui arrondit bien les burins) et qui n'a que faire du liquide qui transite (le rêve de tout parpaing qui souhaite résister à l'immersion).

Encore merci pour toutes ces suggestions.
Je m’attèles à la tâche semaine prochaine.

Bon Week-End.
Cordialement.
Phonolix

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Bonjour à toutes et à tous.
Notre forum vous a aidé, aidez le forum !

Pour nous permettre de continuer à vous répondre, que les acteurs bénévoles de ces forums soient toujours à votre écoute, si vous pouvez, faites un don sur la cagnotte solidaire de Bricovidéo. leetchi.com pour soutenir les Forums
Si vous avez déjà participé à la cagnotte, nous vous en remercions.
Cordialement, l'équipe du forum maçonnerie.
Prochainement fermeture des Forums ?

Bonjour Phonolix.

Si je puis me permettre, je pense que vous vous créez des soucis pour un travail de gros-œuvre relativement facile à réaliser.
Concernant la préparation, il est souhaitable de commencer les rebouchages/ coulages / garnissage avant de tout "rectifier".
Les coffrages n'ont pas besoin d'être conventionnels, planches courtes ou longues, coffrage diton suivant les besoins.
S'il y a des manques au décoffrage, on rebouche au mortier.

Mélange .Par exemple, PRB indique qu'un sac de 30 kg est à mélanger avec 2,7 à 3,6 litres d'eau, le mélange doit être homogène et souple. Consommation 2000Kg /m3, ce qui semble correspondre à votre évaluation.
Un mur enterré, ce n'est pas la même chose qu'un mur immergé.

Dans du neuf, pour un mur de soutien, ce serait un mur en parpaings à bancher avec ossature horizontales et des verticales liées à l'ossature de la semelle.
Pissettes, ça ne coûte pas cher et ça peut vous assurer qu'il n'y a pas d'eau qui stagne.
Protection contre la chaleur, un panneau suffit.

Cordialement. Gad