Dalle de maison qui s'affaisse IPN rongés par la rouille
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Questions maçonnerie : Dalle de maison qui s'affaisse IPN rongés par la rouille
Invité
Bonjour, je viens d'acheter une maison qui date de fin 1800 (mais on ne connait pas la date précise).
En faisant les travaux de rénovation nous nous sommes aperçut que le plafond de la cave qui n'est autre que la dalles qui soutient la maison s'affaissait.
En regardant de plus près nous nous sommes rendu compte que les IPN qui traversent toute la maison et qui sont fixés dans les murs porteurs, sont rongés par la rouille et menace de s'effondrer a tout moment. Nous avons donc stoppé les travaux et nous allons faire passé l'assurance.
Mais que faut-il faire pour remédier à ce problème ?
Je suis désespéré aidez-moi svp.
En faisant les travaux de rénovation nous nous sommes aperçut que le plafond de la cave qui n'est autre que la dalles qui soutient la maison s'affaissait.
En regardant de plus près nous nous sommes rendu compte que les IPN qui traversent toute la maison et qui sont fixés dans les murs porteurs, sont rongés par la rouille et menace de s'effondrer a tout moment. Nous avons donc stoppé les travaux et nous allons faire passé l'assurance.
Mais que faut-il faire pour remédier à ce problème ?
Je suis désespéré aidez-moi svp.
01 février 2011 à 01:22
Conseils maçonnerie 1
Dalle de maison qui s'affaisse IPN rongés par la rouille
Bonjour, désolée, je crois que vous ne vous en sortirez pas tout seul. Il faut un pro, de préférence qui ait de l'expérience dans la construction ancienne pour éviter de faire des bêtises genre "on va vous cimenter tout ça".
A votre place, je vérifierais avec l'assureur si le vendeur ne pouvait vraiment pas être au courant.
S'il le savait, et qu'il ne vous a pas prévenu, c'est un cas pour le forum litige.
Cordialement.
A votre place, je vérifierais avec l'assureur si le vendeur ne pouvait vraiment pas être au courant.
S'il le savait, et qu'il ne vous a pas prévenu, c'est un cas pour le forum litige.
Cordialement.
01 février 2011 à 20:32
Conseils maçonnerie 2
Invité
Dalle de maison qui s'affaisse IPN rongés par la rouille
Invité
Bonjour, je ne sais pas où en est l'état de rénovation de la maison et ni le niveau d'affaissement de la dalle. Il y a plusieurs solutions :
- repasser un chainage béton contre les murs porteurs pour soutenir la dalle en elle-même.
- passer des poutres béton parallèles aux IPN que vous pouvez faire vous-même en faisant attention aux sections et aux portées.
- casser la dalle et refaire un plancher à hourdis béton. Il faut compter 17000 pour 100 mètres carrés.
La solution la plus économique n'est pas souvent la meilleure.
Vous pouvez faire les travaux vous-même, mais il faut faire passer un professionnel et il vous dira ce qu'il est possible de faire, et souvent ils sont de bons conseils.
- repasser un chainage béton contre les murs porteurs pour soutenir la dalle en elle-même.
- passer des poutres béton parallèles aux IPN que vous pouvez faire vous-même en faisant attention aux sections et aux portées.
- casser la dalle et refaire un plancher à hourdis béton. Il faut compter 17000 pour 100 mètres carrés.
La solution la plus économique n'est pas souvent la meilleure.
Vous pouvez faire les travaux vous-même, mais il faut faire passer un professionnel et il vous dira ce qu'il est possible de faire, et souvent ils sont de bons conseils.
02 février 2011 à 00:09
Conseils maçonnerie 3
Dalle de maison qui s'affaisse IPN rongés par la rouille
Bonjour,
Si j'ai bien lu, vous êtes sur une construction fin 1800.
Votre souci mérite expertise. Car la solution 2 (remède de cheval valable pour sauver une construction calamiteuse des années 1970) ne s'applique pas à priori à mon avis sur votre type d'habitat. Les maisons de cette époque ne s'appuyaient jamais sur des dalles et les "rénovateurs hussards" n'ont pas soulevé la maison pour mettre leur dalle.
En conséquence soit il y a eu depuis des restaurations hallucinantes qui et auraient miné la base de vos murs, et y auraient encastré ces illustres IPN... soit cet arsenal des temps modernes a été simplement "collé" contre vos murs.
Entre parenthèses cet amas de béton a étouffé vos murs, qui le lui ont bien rendu = l'humidité accumulée a tué les IPN.
Ma conclusion, c'est qu'il faudrait une solide expertise. Par un spécialiste de l'habitat ancien et pas par un spécialiste du béton banché. Le fait que votre sol de rez-de-chaussée s'effondre ne m'affole pas du tout à priori. Je peux vous dire que c'était le cas d'une vieille maison achetée par mon fils. Le fait que tout s'effondre... lui a facilité le démontage ; -))) Les murs anciens, ça les avait simplement chatouillés, et surtout... étouffés. Depuis ils respirent !
Je vous souhaite un heureux dénouement, et je vous encourage à ne céder ni à la panique ni à la précipitation. Cordialement.
Si j'ai bien lu, vous êtes sur une construction fin 1800.
Votre souci mérite expertise. Car la solution 2 (remède de cheval valable pour sauver une construction calamiteuse des années 1970) ne s'applique pas à priori à mon avis sur votre type d'habitat. Les maisons de cette époque ne s'appuyaient jamais sur des dalles et les "rénovateurs hussards" n'ont pas soulevé la maison pour mettre leur dalle.
En conséquence soit il y a eu depuis des restaurations hallucinantes qui et auraient miné la base de vos murs, et y auraient encastré ces illustres IPN... soit cet arsenal des temps modernes a été simplement "collé" contre vos murs.
Entre parenthèses cet amas de béton a étouffé vos murs, qui le lui ont bien rendu = l'humidité accumulée a tué les IPN.
Ma conclusion, c'est qu'il faudrait une solide expertise. Par un spécialiste de l'habitat ancien et pas par un spécialiste du béton banché. Le fait que votre sol de rez-de-chaussée s'effondre ne m'affole pas du tout à priori. Je peux vous dire que c'était le cas d'une vieille maison achetée par mon fils. Le fait que tout s'effondre... lui a facilité le démontage ; -))) Les murs anciens, ça les avait simplement chatouillés, et surtout... étouffés. Depuis ils respirent !
Je vous souhaite un heureux dénouement, et je vous encourage à ne céder ni à la panique ni à la précipitation. Cordialement.
02 février 2011 à 10:13
