Un multimètre permet de mesurer des tensions, des intensités, en continu et en alternatif. Mais il y a des variantes adaptés aux signaux alternatifs non sinusoïdaux. Ces appareils peuvent mesurer des résistances de quelques fractions d'ohm à un peu plus de 1 Mohm. Certains mesurent en plus des capacités et possèdent la fonction test diode. Beaucoup de multimètres sont numériques, avec des avantages et des inconvénients. Il en existe aussi d'analogiques (à aiguille) magnétoélectriques principalement, là encore avec des avantages et des inconvénients. Un mégohmmètre mesure principalemnt des résistances d'isolement (de bobinages moteur par ex.). C'est plutôt un appareil de laboratoire, qui peut être électromécanique à magnéto (antiquité qui fonctionne très bien), ou numérique. En général la tension de mesure est dangereuse pour l'opérateur.

A part laisser sécher dans le vent ou utiliser un sèche cheveux de puissance inférieure à 700 W, il n'y a pas de solution. Mais 1800 W, c'est énorme ! Cela existe vraiment ?

Il y a urgence. Quelles sont les qualifications de ce pseudo "professionnel" ? Est-il déclaré, est-ce une entreprise qui a pignon sur rue ou un très mauvais bricoleur ? Vous pouvez vous rapprocher de la Chambre syndicale du bâtiment de votre région afin d'obtenir quelques conseils, peut-être même à Promotélec ? Ne faudrait-il pas demander conseil à votre assureur, sachant qu'il y a péril en la demeure au sens propre ? Voire au Consuel que vous pourriez appeler vous même en leur signalant les faits. S'il travaille au noir pour vous, il n'y a pas de recours. Attendons d'autres avis d'internautes.

Ce n'est pas parce que ce n'est pas interdit qu'il faut les utiliser. Il vaut mieux utiliser logiquement des appareillages adaptés aux charges qu'ils alimentent.

Sans schéma, nous n'en savons pas plus que vous. Le 2ème BP doit être câble en parallèle avec le 1er. Autre solution : changez l'interphone pour un appareil évolutif de marque connue.

Afin d'éviter les problèmes, le plus simple est de les laisser là bas, et de vous procurer des 220 V en France.

Cela peut ressembler à un problème de connexion défectueuse, surtout si l'installation fonctionnait auparavant. Faites appel à quelqu'un d'expérimenté. Le calibre du fusible n'est pas en cause.

Votre hangar semblait alimenté en triphasé. Il faudrait savoir ce qui doit être alimenté dans ce hangar, et voir si l'on peut le brancher en monophasé. Il vaudrait mieux faire venir un électricien qui fera cette liaison dans les normes (type de câble, section, protections amont et aval).

Un problème dans l'analyse. Vous parlez d'un allumage 3 points avec interrupteurs, ce qui implique 2 commutateurs va et vient (3 fils sur l'appareillage) et 1 permutateur (4 fils sur l'appareillage) sans compter les veilleuses ; ce montage ne se fait plus depuis longtemps. Ensuite, vous parlez de BP, ce qui impliquerait plutôt un montage télérupteur classique. Vérifiez de quel montage il s'agit exactement. L'incident est-il intervenu suite à un changement quelconque de l'installation ? Comme dit MF, ce peut être un défaut d'isolement qui fait déclencher le DDR 500 mA, mais quel appareil en est la cause ? Quoi qu'il en soit, après réparation (par un professionnel si vous ne trouvez pas), il faudrait envisager une rénovation de votre tableau d'abonné afin d'y mettre quelques interrupteurs différentiels suivis des disjoncteurs par circuit afin de ne pas plonger toute la maison dans le noir en cas de défaut (même le congélateur, s'il y en a un, n'aime pas).

Soyez simple. Faites un montage simple allumage le plus banal possible, sans variateur, car inadapté pour les lampes basse consommation, et inutile de toute façon. Utilisez une douille baïonnette plastique.

Défaut console apparemment, le DDR a fait son travail, vous lui devez peut être la vie ; préférez les jeux de plein air moins dangereux électriquement.

Il s'agit d'un moteur asynchrone triphasé 4 pôles (donc de vitesse de synchronisme 1500 tr/min), que l'on connecte en triangle quand la tension entre phases est de 220 V (cas très rare maintenant du réseau 127/220), et en étoile sur le réseau 380 V entre phases. Il faut pour cela effectuer les connexions du schéma de droite en bas. On pourrait le faire fonctionner en mono 220 V si la puissance était bien moindre (avec effectivement un condensateur auxiliaire, mais malheureusement au détriment du couple utile). Une solution possible : passer par un convertisseur de fréquence 220 V mono 220 V tri (couplage triangle). Mais vu la puissance importante de 3 kW, il n'est pas certain que ce soit au catalogue des constructeurs.

Difficile de donner une valeur comme cela ; mais ce moteur a bien dû tourner un jour ? Comme suggéré précédemment, vous essayez les deux condensateurs (avec le mode opératoire tel qu'il est décrit), l'un après l'autre, et vous pouvez les mettre en parallèle afin d'avoir environ 24 micro F (vos valeurs sont dans les ordres de grandeur usuels). Vous déterminez par expérience la valeur qui convient, il n'y a pas de calcul possible ou de formule passe-partout sans aucune donnée. Au départ, j'imaginais une erreur de branchement possible d'où les explications. Vous pouvez essayer également de trouver un moteur identique pour observation du branchement et de la valeur de C. Il faudrait pouvoir mesurer les valeurs de capacité pour être certain de leur état, voire mesurer l'intensité dans chaque enroulement en fonctionnement, mais c'est du travail en labo. Avez vous essayé de retrouver ce moteur sur le WWW ?

Cela correspond au montage double allumage, qui est équivalent à 2 montages simple allumage avec 2 interrupteurs dans le même boîtier.

Il serait prudent de faire appel à quelqu'un de compétent en électricité, qui saura repérer la phase, le neutre, la phase coupée, et qui vous montrera comment câbler le montage simple allumage.

Les gaines ICT ne sont pas faites pour être enterrées. Il faut utiliser de la gaine TCP. Voir la question 3673 où CMT apporte un maximum de précisions.

Réponse à votre question : non. Va falloir creuser, ou passer un câble en saillie.

Quand on précise une intensité pour un tableau d'abonné, il s'agit du calibre de la protection, lié à la section des conducteurs. Vous vérifiez si vous avez une ligne de section 2,5 mm2 directe vers la cuisine (en plus des autres lignes de prises); ensuite vous la protégez en amont, donc sur votre tableau, avec un disjoncteur 20 A ou un fusible 16 A. Vous la repérez comme étant celle du four, sans adaptateur et sans soucis.

Sans schéma détaillé il est rare de pouvoir dépanner ce genre de matériel de laboratoire (d'enseignement ? Jeulin ? Pierron ?). Vous pouvez contacter le SAV du fournisseur qui pourra peut-être vous guider pour des vérifications simples. Le constructeur vous proposera sans doute un retour atelier et vous serez assuré d'avoir une solution, dépannage forfaitaire, échange standard, ou achat d'un neuf avec des conditions avantageuses (geste commercial).

Eh non, ce n'est pas aux normes. Pour votre cuisinière, il faut tirer une ligne spécifique en 6 mm2 protégée par disjoncteur (de préférence à un fusible) 32 A. Pour la ligne actuelle branchée sur ce porte fusible 32 A, mettez un fusible 16 A si possible.

Effectivement, ce ne serait pas du luxe, bien que non obligatoire. C'est le travail de l'EDF. Ce qui est le plus urgent est d'équiper votre tableau avec des protections différentielles 30 mA. Si vous êtes novice, il vaut mieux faire appel à un électricien qui pourra vous rénover ce tableau (équiper en disjoncteurs et en interrupteurs différentiels) et vérifier l'installation en général. Vous pouvez vous même changer toutes vos prises pour des modèles à éclipses (après avoir appuyé sur le bouton rouge).

Si elle ne chauffe plus, il se peut que l'élément chauffant soit coupé ; il faut alors mesurer la résistance à l'ohmmètre. S'il n'y a pas de coupure de l'élément, il faut chercher plus en amont, dans la commande, et vérifier la présence tension en cours de cycle. Avec un schéma électrique, ce serait plus facile.

C'est le travail de l'EDF ou d'un sous-traitant agréé, car l'espace électrique entre la sortie compteur et l'entrée disjoncteur n'appartient pas à l'usager. Pour faire cette manip, il faut que l'EDF coupe l'arrivée d'énergie au coffret fusibles (plombé) avant le compteur. Pour le prix, voir avec EDF.

Sur le forum, on conseille plutôt les grandes marques pour leur qualité et leur fiabilité : Hager, Merlin Gerin Schneider Electric, Legrand, ABB, Arnould, Shupa. On ne les trouve pas toutes dans les grandes surfaces où le choix et la disponibilité sont limités. Pour un achat en gros, une fois que vous avez fait votre schéma de tableau et la liste (avec quelques disjoncteurs en plus au cas où, goulottes, tubes, gaines, etc), vous pouvez aller chez un grossiste, qui ne vous fera pas la remise consentie aux professionnels, quoique. Vous devrez payer comptant et en général il n'y a pas de reprise possible. Vous pouvez également passer commande auprès d'un artisan électricien. Choisissez un tableau suffisamment grand avec 30 % de réserve (Pragma Schneider par ex). Prenez votre temps. Bon courage.

On va faire simple. Vous allez en question 676 (ma réponse 3) pour savoir à quoi sert le condensateur. Ensuite, vous repérez vos 2 enroulements distincts avec un ohmmètre ou avec un autre moyen plus rustique (pile 4,5 V par ex). Un enroulement sera connecté directement sur le 220 V, l'autre en série avec le condensateur sur le secteur également. Le moteur devrait tourner avec du couple. Comme les 2 enroulements ne sont pas forcément identiques, on les permutte afin de voir s'il y a plus de couple ou si le moteur grogne moins. Prenez plutôt la capacité la plus grande, de tension de service au moins 230 V. Dites moi si le moteur tourne, et dans le bon sens.

Pas de problème particulier. Vous reliez la 2ème réglette (2x56 W, c'est long 8 m)à la première en vous connectant directement en parallèle sur le domino interne de la réglette existante. Vous pouvez utiliser un morceau de câble souple ou rigide tel que RO2V 3x1,5 mm2, que vous pouvez fixer au plafond avec des attaches clouées (dans le placo cela ne tiendra pas). Vous pouvez également faire plus propre en fixant une petite goulotte vissée collée, ou un petit tube rigide fixé par colliers genre "Atlas" ; il faudra peut-être "aller chercher" le béton pour que la cheville tienne. Efforcez vous quand même de raccorder la terre. Pendant que vous y êtes, veillez à installer, s'il n'y en a pas, des protections différentielles 30 mA au tableau.

On ne dira à personne que vous avez passé des fils sans gaine sur 2 cm dans le mur, du moment qu'ils sont totalement inaccessibles de l'extérieur. Scotchez les quand même avec un bon isolant, voire gainez les dans du souplisso si vous avez cela dans vos stocks, et ne bouchez pas le trou au plâtre ou à la mousse expansive. Du moment que les sections sont bonnes et que les lignes sont protégées avec un DDR 30 mA en amont d'un disjoncteur bien choisi cela ira. Sans être conforme à 100 % avec la norme, assurez vous des sections et des protections adéquates, sans oublier les prises à éclipses. En petite rénovation comme la vôtre, on peut se faciliter le travail (notamment le passage dans de petites goulottes) en utilisant du câble souple HO7VK, avec des embouts de câble pour les raccordements dans l'appareillage.

Les lampes sont en parallèle et vous ne pouvez les dissocier. Pour faire simple vous rajoutez une lampe supplémentaire avec son interrupteur.

Effectivement, pas grand monde, car sans caractéristiques précises de branchement on ne peut pas faire grand chose. Avec la notice constructeur, que vous pouvez transmettre en document joint, nous pourrions peut-être vous dépanner.

Votre question n'est pas claire. Qu'est-ce qui ne fonctionne pas : l'enceinte ? L'entrée auxiliaire de l'ampli ? Il faut faire une description détaillée du problème et l'on pourra imaginer une solution éventuelle. Commencez par contrôler les cordons de liaison. Intervertissez les 2 enceintes.

Consultez le site TDF www.tdf.fr/tnt-cartes-couverture qui vous permettra d'avoir le renseignement. Mais vous n'êtes peut-être pas en vision de l'émetteur de Dijon.

Comme déjà signalé sur le forum, une plaque à induction nécessite de pouvoir être ventilée par le dessous. Il faut donc un espace suffisant d'une dizaine de cm. Consultez la notice d'installation qui précise les conditions minimum d'encastrement ou de pose.

Pour compléter ce que dit GTD, il peut y avoir également une usure prématurée des roulements, le bruit est alors intense. La réparation est alors possible pour qui bricole bien, à condition de trouver la rechange. Sinon, il reste la solution d'un SAV, avec un coût quelquefois dissuasif.

Attention ne pas tenter de percer les demi-boules. Il y a peut-être un alien à l'intérieur. Ca se manifeste au début par les étincelles vertes, et c'est pire après. 1/04/08 -

Il est certain que la poursuite d'un cycle prend en compte les informations issues des capteurs. Le site de Beko france n'est d'aucun secours pour le SAV. Il faut contacter un revendeur. Mais le technicien aura-t-il des compétences sur ce genre de matériel d'origine turque (qui semble d'entrée de gamme)?

Si le secondaire du transformateur 300 VA délivre 250 W sous 12 V, l'intensité débitée est d'environ 21 A pour une charge résistive en régime établi. Les "tiges" de sortie doivent avoir une section de 3 mm2 à peu près. Quand le transformateur fonctionne, il est le siège de pertes non négligeables se traduisant par un échauffement normal du fer et des bobinages. Il se doit d'être refroidi, dans votre cas par convection naturelle, c'est à dire que le boîtier doit posséder un maximum d'ouvertures pour le passage naturel de l'air. Si le boîtier est fermé ou très peu ouvert (plastique qui plus est), la température interne augmente, avec les conséquences que vous décrivez. Si cela est possible, mesurez l'intensité secondaire en charge pour voir si la valeur nominale d'environ 25 A n'est pas dépassée.

La question est claire. L'internaute veut utiliser ses disjoncteurs à l'envers (entrée en bas et sortie en haut), mais alimentés par la sortie de l'inter différentiel. Les réponses stipulent qu'il n'y a pas de problème, à condition de faire un étiquetage adéquat. La réponse 5, non justifiée donc inutile, n'est pas à prendre en compte. Une solution possible pour l'internaute pour que le montage soit conforme aux conventions (sortie en bas): il branche tout ses fils courts sur une rangée de borniers (type Viking Legrand ou autre), puis repart ensuite avec des fils de câblage de longueur correcte vers la sortie (en bas) des disjoncteurs.

Synthèse. Les réponses suggèrent un ou plusieurs défauts d'isolement sporadiques ou non, ou une terre mauvaise ou mal raccordée, ou les deux. L'électricien devra chercher dans ces directions ; mais il faut qu'il intervienne vite. Pour réponse 6 : la physique ne dit pas qu'un moteur en tournant émet des frottemens créant des phénomènes d'induction de courant etc. ; désolé.

Très mauvaise idée. Pour une cuisinière en monophasé, il faut une alimentation spécifique de section 6 mm2 avec protection par disjoncteur unique 32 A. Si les prises sont en cascade sur le même circuit, 2,5 + 2,5 = 2,5 (et non 6), et 16 + 16 = 16 (et non 32). Il faut donc tirer une ligne s'il n'y en a pas.

A part les connexions déserrées on ne peut rien dire de plus. Si la pac est vraiment en cause, le plus simple est de demander à l'installateur ou à un électricien qu'il vérifie l'alimentation, en visuel et par quelques mesures.

Il faudrait la notice de branchement de la cuisinière. Peut-être que les bonnes connexions sont indiquées sur le bornier interne, c'est là que vous pourriez avoir les précisions. M. BHV est dans le flou, on ne comprend pas pourquoi il y aurait 2 phases. La prise cuisine 32 A comporte une phase, un neutre et la terre (alimentation 220 V).

Vous êtes sans doute dans une région à indice kéraunique élevé, et si l'alimentation de la maison est en aérien, il y a de forts risques de surtensions propagées par les lignes lors d'orages, même lointains. Même si ce n'est pas le cas décrit précédemment, l'installation d'un module parafoudre en aval du disjoncteur d'abonné améliorera les choses. Voir la question 3559 où ce problème est évoqué.

Le développement des moisissures est lié à une absence ou une mauvaise ventilation. Assurez-vous que la bouche aspire bien en permanence, vérifiez que de l'air frais arrive dans le logement par les prises d'air en haut des fenêtres (non obstruées) ; s'il y a un sèche-linge dans la salle de bain, il vaudrait mieux qu'il soit à condensation. En attendant, il faut nettoyer avec les détergents habituels et bien ventiler. Eviter les peintures spéciales qu'il n'est jamais bon de respirer. Demandez également à vos voisins s'ils ont les mêmes problèmes. Pour les recours, pas d'avis particulier.

Sur votre transformateur initial, il est inscrit 4 fois 28 V 0,2 A ? Sur le transformateur de récupération, il y a moyen de faire une seule tension de 28 V à la condition suivante : il faut que les enroulements secondaires 24 V et 4 V soient isolés l'un de l'autre sans borne commune (à contrôler à l'ohmmètre); on les met alors en série ; suivant le sens, vous aurez environ 20 V ou bien 28 V. Ces valeurs sont indicatives car se sont les ordres de grandeur en charge.

A la lecture de votre description, il semble qu'il y ait plusieurs problèmes simultanés. Tout d'abord une fuite ou deux vers la terre qui fait déclencher votre DDR (volets + VMC - DDR 30 mA ?). Ensuite, vous auriez peut-être une autre fuite sur un équipement non raccordé à la terre (là où vous touchez), et qui procure une sensation désagréable, mais dangereuse ; les deux problèmes peuvent être liés. Le dysfonctionnement est-il arrivé d'un coup ou après une modification d'installation ? Il faut faire une investigation sur place avec quelques mesures. Un travail de professionnel outillé et compétent.

Une imprécision. Le premier se met en service au moment du passage HP HC (il est donc commandé par le contacteur de chauffe eau habituel activé par le contact sec du récepteur 175 Hz). Le deuxième prend le relais ; oui, mais quand ? Dans quelles conditions ?

On applique les règles de l'électricité domestique : circuit spécifique protégé par DDR 30 mA, la terre présente sur le luminaire, et le luminaire lui même adapté à l'usage extérieur, notamment vis à vis de la pluie. Alimentation souterraine avec conduits à la bonne profondeur et repérés par grillage rouge. Voir les questions qui précisent ces points sur le forum.

La logique, le bon sens et les règles de l'art tout simplement imposent de différencier la couleur des fils suivant leur fonction. Neutre = bleu et terre = jaune / vert par obligation ; phase directe = rouge par habitude ; phase coupée = orange idem ; navettes = violet par exemple.

Ce n'est pas bon. Puisque vous êtes en rénovation, il faudrait faire bien du premier coup, séparer les circuits PC et lumière. Vous pouvez utiliser 3 fils du 5g2,5 pour alimenter 8 prises maxi protégées par disjoncteur 20 A. Vous repassez un 3g1,5 pour un circuit lumière avec 8 points maxi, ligne protégée par disjoncteur 16 A. Les disjoncteurs seront en aval d'un interrupteur différentiel 30 mA type AC 25 A par exemple. Inspirez vous des nombreux exemples de tableaux disponibles dans la rubrique.