Bonjour Marie,

J'attends tranquillement les photos.
De toute façon je ne peux rien faire car aujourd'hui il neige.

Bien cordialement

J.F.

Bonjour Marie,

C'est comique, votre description ressemble assez bien à ce que j'ai. Sauf que mes bas de mur sont bien abîmés.
J'ai donc prévu de dégager tout le bas sur une profondeur de 40cm pour ramener le sol fini à hauteur du seuil de porte de la maison, et cela sur une largeur de 2,50 mètres (pas tout de suite car j'ai d'autres priorités). Puis faire un drainage au pied du mur afin de capter les infiltrations (recreuser sur environ 50 cm).
La nature du sol : C'est une terre très grasse (excellente pour jardiner) et collante. Les "petites coquines" adorent visiblement car j'ai retrouvé en creusant au pied de la porte l'une de leurs autoroutes.

Toute la partie actuellement enterrée est directement en contact avec cette terre et il n'y a aucun crépi. Peut-être y en avait-il à l'origine, mais c'est tellement vieux et détérioré.
Je vais donc m'orienter vers votre méthode. Toutefois il y a un point que je n'ai pas trop compris.
Je vous cite :

Citation :
posé une petite barrière bois côté potager, et j'ai rempli mon creux avec 10 cm de sable et 10 cm de gravier.

Voudriez-vous dire que vous avez enterré dans votre tranchée une séparation en bois avant de tout combler de sable et gravier ?

Cordialement.
J.F.

Bonjour Marie.

Le béton cellulaire se trouvera bien à l'intérieur de la maison. Ce sont les briques qui seront du côté extérieur.
Ces briques servent surtout à styliser l'entrée. Elles sont couleur "Léopard" et de dimension 22cm x 10,5cm x 5,7cm. L'autre avantage est qu'elles sont plus solides que le béton cellulaire.

Mon plus gros soucis est le bas de porte. En effet j'ai supprimé deux marches hideuses en béton et mortier. voir dessin
Elles sont cerclé en rouge, les pointillés verts représentent ce qui est recreusé, les flèches représentent le passage du froid et de l'eau puisque tout déglingué.

Le cercle bleu représente le sol à refaire.
Le mur est en pointillées gris clair, la porte est le gros trait marron
Je pensais le refaire en pierres et mortier car j'ai peur que la chaux ne tienne pas ici. Dessous c'est le soubassement du mur, des grosses pierres montées à la chaux. Pour l'instant j'ai mis une couche de sable (environ 15 cm) dessus pour rattraper les bosses et protéger un peu cette chaux bien humide.
En fait, je ne sais pas trop comment refaire ce bas de porte.

Bien cordialement

Bonjour,

La question est dans le titre.
En effet j'aimerais savoir s'il est possible de rattraper un mur en pierre, en l'occurrence l'ouverture d'une porte, avec des briques montées à la chaux.
Si oui, quel type de chaux faudrait-il ?

Dans ce même ordre d'idée je souhaite savoir si des blocs de béton cellulaire peuvent eux aussi rattraper un mur en pierre (maçonnés contre la pierre).
Je pose cette deuxième question car j'ai vu que qu'il est possible de monter un mur de maçonnerie en béton cellulaire avec de la chaux NHL 2.

Pourquoi je demande tout ça ?
Car je veux poser une porte extérieure et il me faut refaire l'entrée de porte (voir la question 5349). Le mur fait 40 cm large et la porte se trouve au milieu vu qu'elle cache la séparation des 2 poutres servant de linteau. Donc côté extérieur je voudrais poser des briques (plus solide que le béton cellulaire), et sur l'intérieur je veux poser du béton cellulaire.
Voir le dessin joint pour plus de compréhension.

Cordialement.

Bonjour à tous,

Réparant une maison ancienne en pierre, je ne puis avancer dans mes travaux à cause du froid.
Pourtant je dois refaire une entrée de porte au complet car les montants de mur sont catastrophiques (puis l'élargir car les dimensions ne sont plus au standard d'aujourd'hui), et changer son vieux linteau de bois par un neuf.
Comme je le disais, le froid me bloque car je ne pas travailler la chaux à cause du risque de gel la nuit.

Est-ce que je peux quand même le faire si j'ajoute à l'eau un produit antigel que les maçons utilisent pour le béton et le mortier ?

Merci d'avance.
Cordialement.

Décidément GL n'aime pas qu'autrui apporte son point de vue allant à l'encontre de sa version.
Lorsqu'un moteur perd en puissance je considère cela comme une solution de dépannage (donc jambe de bois !).
Un variateur mono alimentant un tri oui c'est possible, mais c'est la solution de la dernière chance.

Concernant les couplages maintenant: Je partage votre indication qu'il ne faut pas faire d'amalgame
D'ailleurs il est rapide de s'y perdre lorsque l'on entre dans le couplage des transfos.

Maintenant pour les néophytes qui demandent des conseils, il est plus qu'important de se mettre à leur hauteur. Voilà pourquoi j'utilise des explications simples (même si ça dérange) qu'ils peuvent comprendre, quitte à faire des concessions sur la technique.

Quand une personne demande de l'aide, ce n'est pas par plaisir qu'elle le fait.
Si la réponse qu'il reçoit lui parait évasive, difficile à comprendre, ou lui propose d'aller voir à d'autres questions, il est pratiquement certain que ce demandeur consultera un autre site.

Maintenant c'est peut-être ce que vous voulez.

Bonjour,

J'ai visualisé ce compresseur pour avoir une idée du produit.
C''est un moteur triphasé (ce que vous n'avez pas mentionné) et la commande est des plus sommaire.
Donc c'est réalisable.
Mais pour cela vous devez disposer d'une alimentation EDF en triphasé 220 Volts. Je ne pense pas que votre réseau dispose de ça car en France nous sommes alimentés en 220V mono ou 380V tri.
Si vous n'êtes pas en France, alors il vous faut connaitre votre mode de distribution.
Mais dans tous les cas il vous faut du 220V triphasé.
Ensuite il faut vous reporter sur la plaque signalétique du moteur et vérifier les tensions indiquées.
Normalement il y en a toujours deux.
Il vous suffit de regarder l'image 1 pour en avoir une idée (elles ne sont pas toutes exactement comme ça).
Sur un moteur tri il y a toujours deux couplages possibles. Soit étoile, soit triangle.
Pour bien comprendre, il faut savoir qu'un moteur triphasé possède trois bobines et qu'il est possible (avec la plaque à bornes) de les coupler soit en série (étoile), soit en parallèle (triangle).
Mais afin d'arriver à le faire, il faut que les tensions moteur et secteur soient compatibles.
Le moteur d'abord : La plus petite tension indiquée sur la plaque est la tension qu'une bobine peut supporter. La tension la plus élevée est donc la tension supportée par deux bobines branchées en série.
Si la plaque indique 220V / 380V (ou 400) et que votre alimentation est 220V triphasé alors votre moteur est à coupler en triangle. Si le réseau est en 380 tri c'est le couplage étoile.

MAIS si la plaque moteur indique 380V / 660V alors il vous faut impérativement du 380V tri car l'alimentation 220V tri est impossible (tension trop faible). Et ce sera un couplage triangle.

Voir image 2 pour couplage étoile et triangle.

Maintenant il vous reste la possibilité avec la solution de GL, bien que je n'aime pas perso ces procédés à "jambe de bois". Le moteur perd de la puissance et crée du réactif.

Cordialement.

Voici les photos :
Pour agrandir les images, cliquez dessus.

Bonjour Boubinou,

J'arrive comme un chien dans un jeu de quilles.
Mais votre acharnement à vouloir réussir...
Pour éventuellement (j'indique bien éventuellement) arriver à obtenir la puissance que vous recherchez avec un si petit transfo, il vous faudrait vous orienter vers les alimentations à découpage. Mais celle dont vous auriez besoin n'existe certainement pas. Il faudrait donc la concevoir en totalité (calcul et conception). Autrement dit, ce n'est pas à votre portée.
Tout en sachant évidement qu'au final, même le transfo risque de ne pas être le bon.

Sinon, l'autre solution consiste à trouver un transfo 10 fois plus puissant et un pont redresseur adapté.
Oui, oui, ça existe.

Cordialement.

Bonjour,

Vu la notice du thermostat (qui est d'ailleurs répétée deux fois. Les deux liens Internet), le branchement est relativement simple.

Mais il y a quelques questions à résoudre avant.
Le chauffage : Avec l'image qui correspond à votre chauffage, nous ne risquons pas de faire grand chose. En effet la notice n'apporte aucun renseignement concret.
Est-ce un chauffage monophasé ou triphasé ? Mystère.
Quelles sont les caractéristiques des résistances (puissance, tension, couplage possible...) ?
De plus ce type de chauffage doit très certainement être associé à une soufflerie (ventilation). Mais là aussi il n'y a ni renseignement, ni documentation.
Pourtant le thermostat mentionne bien une ventilation, c'est même l'élément principal qu'il gère (d'après la doc).
Visiblement vous avez oublié quelque chose.

Dans l'immédiat, avec ce que vous avez transmis, il n'est pas aisé de vous sortir un schéma correct et juste.

Cordialement.

Bonjour,

Voilà les photos promises :

La pièce que je rénove est donc le cellier destiné à être transformé en salle d'eau.
Un mur porteur (du plancher supérieur) a été abattu afin de le déplacer d'environ 60 centimètres.
Le nouvel emplacement est matérialisé en hachures bleu foncé sur l'image intitulée "Vue générale". Et les tirets bleu clair représentent celui de l'ancien mur.
Cette vue générale donne beaucoup d'informations.

Le mur porteur était en E. A sa droite c'est le cellier, à sa gauche c'est le séjour.
En F c'est le mur en pierre contre lequel était accolé le mur à déplacer.
En D c'est un revêtement en béton qui a été appliqué jusqu'à 1 mètre de haut (dur, dur à casser).
En C c'est une chape en béton. Je n'ai pas encore vérifié comment c'était dessous.
En B une chape (mortier ?) destinée à recevoir le revêtement carrelage A.
A, B, C, sont secs.

Avec la vue nommée "Marque du mur" nous voyons mieux l'environnement du mur.
Son emplacement est toujours matérialisé en pointillé bleu clair. A gauche le carrelage, à droite le dallage en terre cuite. La couleur foncé est due à l'humidité.

La photo "Dallage neuf" montre bien son agencement. Le carrelage en A, la chape (mortier ?) en B, la dalle de béton en C. Je n'ai pas vérifié dessous. Ces trois éléments sont parfaitement sec. En D nous voyons une partie du revêtement béton appliqué sur le mur. En E, l'emplacement du mur, ce que nous voyons sont les gravas de démolition de ce revêtement.

La photo "Dallage ancien" montre le dallage en terre cuite (1 et 1bis), le "ciment" de fixation en chaux (2), un lit de sable ou peut-être du tuffeau tellement c'est fin (3 et 3bis), enfin un lit de petites pierres sous le sable (4 et 4bis). Je n'ai pas creusé plus bas, mais je pense qu'en dessous c'est la terre d'origine. Tout ça, pierres, sable, dallage sont très humides.
La chaux du mur et du dallage, du fait de leur importante humidité, m'a certainement induit en erreur, l'ayant confondu avec du plâtre.

Mon problème est donc de savoir comment m'y prendre pour faire une bonne chape de salle d'eau qui ne me crée pas ce genre de problème d'humidité ou autres désagréments du même acabit ; et surtout comment la faire, sachant que je ne peux pas retirer la dalle de béton.

Cordialement.

Voici les photos :
Pour agrandir les images, cliquez dessus.

Pas facile la recherche, car les kits modulateur jeux de lumière ne sont pas nombreux.
Mais j'ai trouvé quelque chose d'intéressant, mais il va falloir souder et graver le circuit imprimé.
Si le montage n'est pas fait pour durer vous pouvez toujours utiliser des cartes d'essai à insertion et fixer les composants dessus (pas de gravure, ni soudure à faire).
Plus tard vous pouvez récupérer les composants pour faire autre chose.
Je vous préviens quand même, le prix des composants dépassera largement une carte Arduino (que je vous préférais). L'ère de l'électronique classique est dépassée, les mémoires programmables ont la préférence car plus souples et moins chères au final.
Alors si vous prévoyez d'autres jeux de lumière à l'avenir, ou voulez améliorer celui-ci, orientez-vous vers le programmable.
Arduino est un excellent compromis qualité/prix. Pensez-y pour... vos futures animations de fin d'année.
Voilà le lien que j'ai déniché : sonelec musique.com jeux de lumière
A la fin du chapitre "Modulateur de lumière" (juste avant "Chenillards") vous avez des liens de réalisation.

Pour les composants, consultez Gotronic, Électronique Diffusion, Sélectronic...

Cordialement.

Allez voir chez Gotronic, ils ont des kits (modulateurs) qui devraient répondre à votre attente.
Je regarde sur d'autres boutiques et vous transmets mes résultats.

Cordialement.

Bonjour coyotte76,

Au risque de vous décevoir, votre recherche risque d'être plus complexe que prévu.
Soit vous trouvez un schéma et il faudra acheter les composants, en espérant que vous avez déjà l'expérience des montages électroniques (car là il faudra tout faire, même la gravure du circuit imprimé).
Soit vous trouvez un kit prêt à monter, mais il faudra faire de la soudure et les réglages éventuels (dans votre cas je ne pense pas qu'il y en ait).
Soit vous trouvez un montage tout fait, mais je ne crois pas trop que vous en trouviez un.
Je vais essayer de vous trouver quelques pistes pour des kits (mais ça risque de prendre un peu de temps).
Laissez tomber Conrad, c'est trop cher...

Cordialement.

Bonjour coyotte76,

Pour faire un jeu de lumière piloté depuis une source sonore, il faut passer par un modulateur.
C'est donc le modulateur qui allumera les lampes (ici des LEDS) en fonction de la fréquence musicale.

Je pense qu'il existe des CI tout prêt pour ça.
Mais je vous conseille plutôt çà : les circuits Arduino. Ils ne prennent pas de place, sont programmables sur PC, sont évolutifs et remplacent avantageusement une pléthore de composants.
Vous voulez améliorer le jeu de lumière ? Pas de problème, il suffit de modifier le programme, c'est tout.
Mais peut-être ne connaissez-vous pas la programmation Arduino.
Dans ce cas je vous conseille vivement Le site du ZERO. Voir avec Google.
Depuis la page d'accueil vous allez à la page Science (par défaut c'est la page Informatique qui s'affiche).
Puis depuis la page Science vous allez sur Électronique Arduino.

Bon maintenant il existe aussi des tas de sites d'électronique sur la toile, il serait bizarre que vous ne trouviez pas votre bonheur.
Mais c'est vrai, il faut chercher parfois longtemps.

Cordialement.

Bonjour,

Ce que vous demandez est RIGOUREUSEMENT INTERDIT !!!

Les circuits de chauffage électrique doivent être indépendants de tout autre circuit (et protégés séparément.) Voir norme C 15-100.

Les circuits prises sont aussi réglementés et utilisent des protections spécifiques selon leur fonction. Voir norme C 15-100.

Si cette règlementation existe ce n'est pas pour embêter le monde mais bien en raison d’événements de dangerosité.

Vos ordinateurs méritent quand même un minimum "de respect" pour fonctionner proprement.
Ce ne sont pas des poêles à frire.

Cordialement.

Bonjour,

Dans une maison ancienne, je veux réaliser une salle d'eau dans un ancien cellier.
Le sol du cellier est en terre battue (plutôt sableux) sur laquelle repose un dallage en terre cuite fixé à la chaux (enfin je pense que c'est de la chaux ou du plâtre). C'est blanc / jaunâtre et toujours humide.

Je voudrais refaire tout ça afin d'avoir une chape et un dallage qui ne me crée aucun problème d'humidité ou autre dans la future salle d'eau.
Comment dois-je m'y prendre ?
La pièce fait 2,50 M par 2,20 M.

Cordialement.

Cela ressemble étrangement à une connexion de boite de jonction (B.J.) qui a cramé.
Il faudrait vérifier les boites de jonction, l'une d'elles a certainement une connexion qui a chauffé, puis cramé (ou désolidarisée de la borne dans le meilleur des cas).
Puisque vous avez vérifié et remplacé tous les autres éléments susceptibles d'être en cause, je ne vois plus (pour l'instant) qu'une boite de jonction en cause.
Attention toutefois, coupez l'installation lorsque vous interviendrez dans ces boites, car les mauvaises surprises sont légions.
Il n'est pas non plus toujours évident de voir une mauvaise connexion, surtout avec les bornes auto-clipsables genre Legrand (surtout elles), Wago, Capri...

Cordialement.

Plusieurs petites questions:

Est-ce que le disjoncteur déclenche dès que vous démarrez la machine ... ou quelques secondes, quelques minutes, après son démarrage ?

Est-ce que la machine est toujours branchée à la même prise. Avez-vous essayé en la branchant sur une autre prise ?

Quand vous démarrez votre machine, y a-t-il d'autre appareils en service ? si oui, sont-ce toujours les mêmes ?

Le disjoncteur déclenche t-il sur une surcharge ou sur un défaut d'isolement ?

Pour cette dernière question, j'espère que vous savez reconnaitre quand votre disjoncteur déclenche sur un défaut d'isolement ou sur une surcharge (c'est très important).
Cordialement.

Quand on n'y connait rien, la première chose intelligente à faire est de commencer par : soit prendre une petite photo de l'élément en question (avec les téléphones portables suréquipés ça ne doit pas être difficile), soit faire un dessin de l'ensemble, voire les deux.
Ensuite il est plus facile de s'y retrouver ... ou demander de l'aide.

Maintenant il est toujours possible d'envoyer des photos en gros plan sur lesquels tous les fils sont présents.
Nous ferons de notre mieux, sachant que cela peut prendre du temps. Alors sans photos...

Bonjour,

IL est possible effectivement que le disjoncteur ait souffert et qu'un contact soit HS. Comme le dit CMT, un court-circuit c'est violent.
De toute façon, de visu vous ne verrez rien sur le disjoncteur. C'est dans la chambre de soufflage que sont les dégâts. Dans tous les cas, j'indique bien "dans tous les cas" lorsqu'un disjoncteur subit un court-circuit direct (comme c'est le cas ici), il est impératif de le changer, même s'il parait encore bon.
Si vous le changez, amusez-vous à l'ouvrir et regardez l'état de la chambre de soufflage, vous comprendrez très vite.
Il est possible que la panne vienne d'une connexion d'une autre prise ... mais je n'y crois pas trop pour la simple raison que le point faible est l'ouverture du contact du disjoncteur et que l'étincelle produite lors de son ouverture (que la chambre doit souffler), suite au court-circuit, vaporise littéralement les contacts par sa température. Un arc de court-circuit atteint facilement les 1000 degrés, et cela en une fraction de seconde.
Pour bien comprendre un court-circuit il faut comprendre que lorsque la phase et le neutre sont reliés directement ensembles il n'y a plus de résistance (ou infime) donc l'intensité est maximale.
Par exemple : Pour un moteur de 500 watt, l'ICC sera de 500 ampères pour une tension de 0. P = U.I

Bonjour Marie,

Je répond avec retard car je n'avais pas de photos du mur qui suinte.
C'est chose faite (voir la photo jointe).
J'ai trouvé un équivalent du MM30 en France dans une grande surface de bricolage. Donc cette partie est résolue.
Concernant le mortier (ciment / sable) humide, Il s'agit de l'humidité du mur qui ressort.
Cette humidité (selon moi) est de deux origines. La remontée capillaire, très présente et jamais traitée, et une infiltration du fameux mur accolé contre le mur pignon. Du travail en perspective pour régler tout ça.
D'ailleurs sur la photo jointe, nous voyons très bien des taches de salpêtre (en haut de l'image et sur toute la largeur) ainsi qu'une concrétion de ce salpêtre (en haut à droite).

Cordialement.
JFD

C'est un cintrage à la vapeur et sous presse. De plus il faut respecter le sens des plis (car le CTP se cintre mieux d'un côté que l'autre).
Il faut d'abord bien assouplir à la vapeur la partie à cintrer puis la presser dans un moule, et la laisser sous presse jusqu'à séchage complet du bois.
Il est possible d'utiliser de l'eau à la place de la vapeur. Technique plus facile pour celui qui ne possède pas de générateur de vapeur. Il suffit de passer une éponge mouillée sur la zone à cintrer (j'indique bien mouiller, pas inonder).

Si vous parlez du disjoncteur principal EDF, vous débranchez les fils de sortie du disjoncteur (capot non plombé) puis vous l'enclenchez et le déclenchez deux ou trois fois.
S'il réagit bien, il n'est pas en cause. S'il a des difficultés à se réarmer, vous contactez EDF pour le faire changer. Si vous parlez d'un autre disjoncteur que celui d'EDF, vous faites la même manipulation sur cet autre disjoncteur. Et vous le changez s'il fonctionne mal.
En cas de fonctionnement correct du disjoncteur (EDF ou autre), c'est le circuit que vous raccordez dessus qui a un problème.
Il faut savoir que le problème de dysfonctionnement d'un disjoncteur est dû en général à une surchauffe de celui-ci (parfois faible mais longue dans le temps), à des disjonctions répétées par des petites surcharges, ou des disjonctions violentes (2 ou 3 pas plus) dues à des court-circuits.

Bonjour Marie,

Vous dites avoir coulé un bâtard chaux-ciment. C'est un produit tout prêt ?
Ou bien c'est un mélange à proportionner (de combien) ?
Et donc, vous avez mis ça sous le béton cellulaire.
Au fait, le béton cellulaire est accolé au mur ou il doit y avoir de l'espace ?
Pour les matériaux, je vous laisse faire et attend tranquillement (si je puis dire).
J'ai vu rapidement la question 4145 et la garde à portée de mains.

Pour la petite histoire :
Je viens de découvrir une nouvelle ânerie. Un mur extérieur (sous un porche) a été regarni de ciment sur environ 2,50 mètres hauteur par 4 mètres en largeur (je ne sais depuis combien de temps). A ma grande surprise le ciment reste humide !!!

Bien cordialement.
JFD

Bonjour Marie,

Vos idées sont très utiles et je vous sollicite à nouveau.

La photo du cellier est trompeuse. En effet il faut voir de visu l'état des murs. En certains endroits il y a des concrétions de salpêtre de 1 à 2 cm d'épaisseur. Pourquoi ? Car tous les murs ont été salopés (mal entretenu). Des carreaux de plâtre cachaient la misère.
Du ciment a été utilisé pour "réparer" des remontées d'humidité. Sur la petite photo de la maison il y a des réparations au plâtre, d'autres au ciment. Pire encore : un mur en ciment a été élevé sur toute la hauteur d'un pignon (pour quoi faire ?) et déborde de la toiture. Si bien que l'eau de pluie peut pénétrer entre les deux murs. Qu'est-ce que je vais trouver quand je vais le démolir.
Mais je m'éloigne du sujet.
Concernant l'isolation (car c'est ça qui me tracasse le plus), j'avais pensé au béton cellulaire et au revêtement chaux / chanvre pour être plus assuré d'avoir une bonne isolation thermique.
J'avais même espéré pouvoir faire cette isolation chaux / chanvre en isolation extérieure et donc utiliser les murs comme accumulateur / restituant calorifique.
Hélas, je ne sais pas si c'est faisable... ni où trouver ce produit d'ailleurs.
Connaissant maintenant les problèmes de transfert d'humidité, je ne veux pas utiliser n'importe quoi comme isolation (en tout cas pas de laine de verre).
Pour ce qui est du béton cellulaire, l'idéal serait que je puisse l'isoler du sol pour empêcher les remontées capillaires, car la maison est sur un terrain très humide et des sources proches du sol. Faire une petite "chape étanche" juste sous les blocs de B. C. avant de les monter serait une bonne solution ?
Que feriez-vous ?
Pour la douche, je vais essayer de lui trouver une autre place. Mais la salle d'eau reste dans cette pièce.

Bien cordialement.

JFD

Bonjour,
C'est bien un mur extérieur que l'on voit, mais il y a celui de droite qui est mitoyen à une autre maison. Dehors c'est pas mal abimé aussi (voir la photo "Derrière").
D'ailleurs l'extérieur doit être remanié (voir dessin "Entourage maison") car c'est pas génial.
En effet, l'extérieur de la maison a été remblayé sur 40 cm environ et une chape de ciment (ou béton ?) entoure celle-ci sur 2 mètres de large. Sous la chape il y a une sorte de lit de graviers (ou gravas ?). Tout ça fait une couche d'environ 5/10 cm puis vient le sol proprement dit.
A la porte que l'on voit, une marche a d'ailleurs été rajouté pour rattraper le niveau.
Le sol à l'air d'être en carreaux (il n'y a pas de bois).
Cette maison est dans le 02, et les hivers sont plus froids que dans le sud. Maintenant, l'isolation peut être faite de l'extérieur, mais avec quoi et comment ?
Le problème du mur apparent: Effectivement je partage pleinement votre point de vue que ce mur apparent serait du plus bel effet, mais une douche à l'italienne doit prendre place dans cet espace (je n'ai pas d'autre endroit possible pour elle).
Vous dites:

Citation :
Si vous pouviez le laisser apparent en le protégeant des projections d'eau, ce serait probablement préférable

Mais comment vous y prendriez-vous ?
Je suis preneur de toutes bonnes idées.

Voici les photos :
Pour agrandir les images, cliquez dessus.

Votre projecteur est devenu une pièce de collection.
Je ne saurais trop vous conseiller d'aller voir sur un site de TSF où vous allez rencontrer de vrais passionnés et bidouilleurs hors pair.
Je vous donne deux sites à tout hasard.
retro-forum.com
tsf-radio.org
Je sais aussi qu'il existe un site de passionnés qui construisent des projecteurs et carrément des salles de cinéma (individuelles) avec tout le toutime. Mais je ne connais pas leur site.
Je vais me renseigner et vous donne le lien sitôt que je l'ai.

Bonjour.
Je veux transformer un vieux cellier en une salle d'eau.
Les murs, qui ont souffert (voir photo du mur "Cellier"), doivent être rénovés.
Voilà ce que j'envisage : après réparation des murs, je les enduis d'une couche de 5 cm de chaux / chanvre (comme vu sur le forum), puis j'ajoute une cloison (qui touche) en béton cellulaire. Sur ce béton cellulaire je colle des carreaux de faïence sur toute la hauteur du mur.
Voir le dessin du mur "Projet mur salle d'eau".
Ma question : pour éviter un "étouffement" du mur par la faïence, j'ai pensé qu'une paroi en béton cellulaire serait plus à même de recevoir les carreaux (c'est une salle d'eau), et le mur serait moins sujet à étouffement.

Rénovation de mur
Pour agrandir les images, cliquez dessus.

Donnez-nous les caractéristiques du chauffe-eau et de sa plaque à bornes. Au complet. Vous devriez trouver ça sur les papiers du chauffe-eau ou sur une petite plaque à côté de la plaque à bornes.
Nous vous répondrons par un joli schéma et une explication complète.

Le disjoncteur EDF ne sert qu'à protéger son réseau pas l'installation d'un particulier.
IL est particulièrement téméraire de vouloir se fier à ce disjoncteur pour penser protéger son installation.
C'est le disjoncteur principal du tableau de distribution qui a ce rôle et aucun autre.
Quel que soit votre cas de figure, vous devez installer un 30mA sur chaque rangée utilisée dans le tableau de distribution.
De plus un porte fusible ne protège pas des fuites de courant. Ce n'est pas son rôle.

Selon la réglementation NF C15-100
La protection différentielle s'applique de la façon suivante (sachant que TOUS les différentiels seront des 30mA):
A- Pour un Logement d'une surface habitable inférieur à 35m²
Prévoir :
1 différentiel 25A type AC
1 différentiel 40A type A

B- Pour un Logement d'une surface habitable entre 35m² et 100m²
Prévoir :
2 différentiel 40A type AC
1 différentiel 40A type A


C- Pour un Logement d'une surface habitable supérieur à 100m²
Prévoir :
3 différentiel 40A type AC
1 différentiel 40A type A

Dans tous les cas de figure, il faut prévoir un disjoncteur 63A SI les circuits de chauffage et chauffe-eau cumulés sont supérieurs à 8KW

De plus le type A est obligatoire pour la protection du lave-linge et plaques de cuisson.

Pour en revenir à la question du triphasé, il vous suffit de diviser par trois (approximativement) pour avoir une idée de ce que peut consommer chaque phase. Ce qui dans votre cas (en faisant simple) correspondrait à environ 6Kw.
De plus, dans votre cas particulier, vous devriez vous passer facilement (en répartissant bien les circuits) du fameux 63A. Donc en restant à 40A, ça passe facilement (25A serait surement trop juste).
Pour résumer: Un inter différentiel 30mA 40A, type A ou AC, par rangée utilisée, alimentant vos portes-fusibles situés sur les dites rangées. et vous devriez être tranquille.
Attention, Si vous atteignez les 8Kw avec la rangée des chauffages, alors c'est le 63A qui s'impose.

L'emplacement du disjoncteur maintenant. Normalement c'est le disjoncteur de branchement qui assure la coupure de toute l'installation. Celui-ci n'étant pas accessible vous avez le droit soit d'en installer un second qui n'aura qu'un rôle de coupure, soit mettre un interrupteur sectionneur. Son emplacement ? A côté du tableau de répartition ou au dessus.
Ce disjoncteur général n'a pour rôle une coupure différentielle. Je précise bien que ce sont les différentiels de rangée qui ont ce rôle.

Je pose ma question ici car je pense que c'est le meilleur forum de bricolage où la poser.
Concernant les différents outillages à utiliser pour tel ou tel travail, il est parfois difficile pour un petit amateur de s'y retrouver.
Je donne deux exemples reflétant bien le problème posé.
Premier exemple.
Un bricoleur (moi entre autre) veut acheter quelques outils pour réparer un mur.
Il veux une truelle.
Surprise: Entre truelles plates, triangulaires, grosses, petites, etc. laquelle prendre ? De plus il découvres des outils lui étant inconnus: Taloches à lisser, griffoirs, etc.
Notre bricoleur ne sait plus que prendre et repart les mains vides dépité (ou repart avec des outils totalement inutiles pour ce qu'il veux faire).
Deuxième exemple.
Un autre bricoleur veut acheter des outils pour bricoler son électricité.
Il veut une pince coupante et des tournevis.
Encore surprise.
Des tournevis il y en a à la pelle. Petits, grands, plats, cruciformes, empreinte Philips, etc.
Les pinces plus ou moins spécifiques le déroute un peu. Il découvre même une pince à douilles (ça existe ça ?).
Il est clair que toute cette panoplie ne lui sera pas utile. Alors que prendre de judicieux.
Et les contrôleurs ? Il va découvrir tout et m'importe quoi (mais il ne le sais pas) et va se reporter sur un petit tournevis test (car beaucoup moins cher qu'un contrôleur).
Et un jour notre pauvre bricoleur se retrouvera ... en caleçon pour s'être trop fié à ce tournevis douteux.
Ma question est ambitieuse et mériterait certainement une page spéciale, par exemple : Les bons Outils.

Effectivement.
Bon je rectifie l'oubli. Voilà le dessin en question.

Voulant rajouter une petite pièce, je dois déplacer une partie d'un mur porteur supportant les poutres d'un plancher d'étage.
J'envisage de remonter la portion de mur, devant être déplacée, en béton cellulaire.
Est-ce que le béton cellulaire ne risque pas de perturber le mur contre lequel il sera accolé ?

J'ai joint un dessin expliquant mieux ce que je veux faire. Le mur béton cellulaire est représenté en bleu clair.
Les poutres s'arrêtent toutes sur le mur porteur ce qui fait que je dois en remplacer quelques unes devenues trop courtes.
Dans l'ensemble les dimensions sont respectées.
Pour les poutres, voir la question 5225.

Voilà la réponse :

Comment avez-vous contrôlé les inducteurs (bobinage) et surtout l'induit (rotor) -TRÈS IMPORTANT-
De plus la panne peut (le plus souvent) provenir des balais (les charbons). S'il y a un condensateur dessus, il sert surtout de filtre anti-parasite (géré par le collecteur et les balais).

J'attends réponse.

Je rejoins CMT. Vos appliques sont de classe 2 (donc pas de terre). Le non fonctionnement n'est effectivement pas lié au fil de terre mais bien à la seconde sortie applique.
En fait cette sorte 4 fils est l'arrivée principale des appliques. Les deux rouges à relier entre eux. Idem pour les deux bleus ... et le circuit appliques fonctionnera parfaitement.

Devant rénover un plancher d'étage (une chambre), il me faut remplacer des vieilles poutres en chêne (l'ossature du plafond) par des neuves. Aussi je cherche à connaitre la section qu'il me faudra utiliser.
Le plancher était constitué des poutres sur lesquelles reposait un habillage de petits bois (pourris pour la plupart) et de plâtre. Voir la photo.
Les anciennes poutres faisaient 15cm x 15cm sur 3 mètres. Mais la pièce ayant été allongée de 1 mètre, recul d'un mur porteur au rez de chaussée, j'envisage donc des poutres de 4 mètres longueur avec une section de 20cm x 20cm.
Elles sont espacées de 40/50cm. La section que j'envisage est-elle bonne ? Ou dois-je l'augmenter ?
Merci.

Bonjour,

Ayant acheté une maison ancienne située en terrain très humide, les remontée par capillarité sont énormes, les murs sérieusement abîmés et salpêtrés (des plaques de cristaux blancs de quelques mm d'épaisseur).
Des problèmes que je me pose sont les suivants: Ayant vu les explicatifs de réfection d'un mur en chaux avec la question N°2977, et ayant appris qu'il est conseillé d'utiliser de la chaux hydraulique sur des murs humides (et privilégier la chaux aérienne pour les murs secs), cela signifie t-il que je doive remplacer la chaux CL90 (aérienne) par une hydraulique (par exemple NHL 3,5)

Autre question: Je dois rejointer les murs sur une assez grande profondeur (jusqu'à 10 cm en certains endroits). Puis-je utiliser une chaux pour la reprise des grosses fissures (le gobetis), exemple la NHL 5, puis de la NHL 3,5 pour le corps d'enduit ainsi que l'enduit de finition.

Mais pour éviter les remontées capillaires j'ai trouvé ce produit : Chaux pouzzolamique TRADICAL PZ. Qu'en pensez-vous ?

... et pour éviter les rejets de salpêtre j'ai trouvé une chaux anti-salpêtre. Serait-il plus préjudiciable de l'utiliser à la place des autres.

Évidemment la maison ne possède aucun drainage. Toutefois pour éviter de mélanger les question je poserais ce problème spécifique dans un autre fil.

Merci d'avance de l'aide que vous m'apporterez.