Bonjour. En tapant "chaises" dans le moteur de recherche, vous auriez trouvé une super réponse "EXACTE" avec photos, croquis et tout, et tout, à la question n°2048. Cordialement.

Je vous salue Marie, etc. (on a dû déjà vous la faire, celle là…)
Vous avez entièrement raison : C’est le transport qui coûte le plus cher. Alors si en plus il fallait le payer, où irions nous ? Mieux vaut rester local !
Cordialement. : -)

Bonjour,
La réponse se trouve dans votre question : Une charge X répartie sur la longueur d'un mur repose sur une surface égale à la longueur de ce mur multipliée par sa largeur. La charge sera inchangée, mais reposera sur 2 appuis qui n'auront pas la même surface porteuse que l'ancien mur. A votre avis, que va t-il se passer ?
Il va vous falloir des fondations solides pour vos piliers : tout comme une descente de charge, cela se calcule et il y a des BE spécialisés pour cela.
Cordialement.

Bonjour
En Travaux Public, un hérisson était une couche posée sur le fond de forme d'une chaussée ou d'un chemin, et constituée par des pierres d'une dizaine de kilo posées de chant et serrée les unes contre les autres. La dessus, venait un empierrement en ballast, puis du gravillon plus fin. La circulation des charrettes se faisait directement dessus ou sur un pavage. Plus tard est né le macadam à l'eau de même structure mais avec fermeture de la couche de roulement. Il a quelques années plus tard cédé sa place au goudronnage.
Par extension, en maçonnerie, le hérisson est le lit de ballast ou de pierres qui est réglé et sert d'assise à une dalle (de terrasse par exemple). Cette dernière définition du hérisson se trouve dans le dictionnaire, mais j’ai pensé que cela intéresserait peut-être d’autres internautes de savoir comment étaient réalisées les chemins et les routes au siècle dernier. Quelques fois, pour une petite allée...
Cordialement.

Bonjour. Il vous faut les outils classiques d'un maçon, sans oublier le niveau et le fil à plomb.
Pour le reste, la marche à suivre est détaillée dans ma réponse à la question 2316 de ce forum.
Pour les dosages, consultez le tableau des bétons et mortiers en tête de rubrique (accès aux vidéos). Bon courage.

Bonjour,
La réponse à votre question se trouve depuis plus d'un an sur ce forum : Il s'agit du tableau des bétons et mortiers qui donne toutes les proportions.
En tête de la rubrique maçonnerie, cliquez sur "accès aux vidéo" et vous le trouverez... sans compter les nombreuses bannières disséminées dans les pages du forum.
Cordialement.

Bonjour. C’est relativement facile à expliquer, mais un peu plus compliqué à réaliser. Mais avec de la minutie et de la patience...
1°)– Entre les deux poutres et sur toute la longueur qui sera occupée par la plaque de placo, tracer une ligne droite de référence, à la règle ou au fil à bleu. Sa position par rapport aux poutres n’a aucune importance pour peu que vous puissiez mesurer la distance la séparant de chacune des poutres.
2°)– A partir de cette droite, élevez des perpendiculaires d’une poutre à l’autre. L’espacement entre les perpendiculaires pourra être soit constant, soit variable en fonction des découpes.
3°)– Sur chacune des perpendiculaires, mesurer la distance comprise entre la poutre et la ligne droite de référence (celle tracée au 1°).
4°)– Sur le placo, tracer la ligne droite de référence.
5°)- Tracer toutes les perpendiculaires. Allez doucement et vérifiez bien vos inter distances entre elles. Il est préférable afin d’éviter des erreurs, de mesurer et de reporter chaque fois la mesure faite à partir de la première perpendiculaire. De cette manière, une erreur éventuelle ne sera qu’en un seul endroit au lieu de se répercuter en plusieurs points.
6°)– Sur chacune des perpendiculaires, reporter la distance mesurée sur le plafond entre la ligne droite de référence et la poutre. Ne vous trompez ni de perpendiculaire, ni de poutre.
7°)– Relier les points ainsi définis sur le placo et découper en suivant le tracé. Pour des points très particuliers, vous pourrez élever des perpendiculaires très rapprochées, ce qui vous permettra d’avoir un tracé moins grossier.
8°)– Refaire tout ce qui précède pour chaque nouvelle plaque.
Ci-joint un croquis explicatif
Pour agrandir l'image, cliquez dessus.

. Bonne découpe.

D'après ce que vous écrivez, une solution parmi d'autres consisterait, à condition que la structure de l'escalier en supporte le poids, à reprendre le giron (ligne de foulée située à 50cm de la rampe) et le balancement des marches (qui permet d’avoir la même largeur pour toutes les marches): cela va entraîner un rechargement de l’escalier, une augmentation du nombre de marches actuel et le décalage de la 1ère marche, d’où augmentation de l’encombrement au sol. Pour faire court, une hauteur de marche idéale est de 175mm et le pas (2 hauteurs + un giron) doit être compris entre 590mm et 640mm, l’idéal étant 640mm, soit un giron de 290mm pouvant être ramené à 240mm : en deçà, l’escalier devient… sportif. Encore faudrait-il que vous communiquiez ici même le plan côté exact de l’escalier actuel afin d’en vérifier la faisabilité : vue de dessus et élévation. Vous trouverez par ailleurs de très nombreuses réponses sur les escaliers dans ce forum et dans le forum menuiserie. Cordialement.

La question n°50 de ce forum traite de ce problème et il y a 20 réponses dont certaines extrêmement détaillées. Je vous engage à aller les lire : vous devriez normalement trouver la réponse à votre question. Par ailleurs, en tapant simplement "mérule" dans le moteur de recherche (ce que vous avez oublié de faire...) vous trouverez de nombreuses autres questions et d'autres réponses sur ce champignon... envahissant. Cordialement.

Bonjour.
Vous trouverez une réponse à la question n°345 de ce forum sur la réalisation d'une table en faux marbre, ainsi que des photos. Cela devrait vous aider.
Cordialement.

Bonjour. Vous devriez, avant de prendre conseil des uns ou des autres (pas nécessairement qualifiés pour donner ce type de conseils), lire l'excellente et très complète réponse faite à la question 2454 de ce forum (mais aussi à la question 2358, au travers d’un complément de réponse de celle de l’internaute n°1), qui traite exactement du même problème que le vôtre. Cela devrait vous engager à réfléchir et à modifier votre vision quant aux modalités d'exécution de vos travaux, tout au moins au niveau de l'étude. Réaliser un sous oeuvre (un agrandissement d'ouverture réalisé avec un cadre en IPN s'appelle ainsi. Par extension, la mise en place d'une poutraison en IPN a pris le même nom) n'est absolument pas un bricolage, et peut être à l'origine de très grands désagréments, pour ne pas dire plus, si l'on ne prends pas quelques précautions élémentaires, telles qu'un calcul précis de descente de charge, calcul des moments fléchissants et des efforts tranchants sur les IPN (I Profil Normalisé). En clair, le dimensionnement des IPN ne se fait pas à vue de nez, mais par un calcul très précis qui demande d'autres données que celles que vous indiquez sommairement dans votre question. Mon conseil : Faites au moins calculer vos IPN par un BE spécialisé. C'est un métier, et il n'y a pas de bricolage dans les calculs. Ensuite, pour la réalisation, je ne doute pas un seul instant de vos capacités ou de vos dons pour mener à bien ce travail. Bonne réalisation.

Bonjour. La réponse à votre question se trouve sur ce forum, parmi les fiches de bricolage que vous n'avez sûrement pas eu la curiosité de regarder, mais aussi dans les réponses des internautes. Vous auriez pu, avant de poser votre question, regarder ce tableau ou à défaut vous servir du moteur de recherche, car il y a plusieurs dizaines de questions sur les dosages des mortiers, des bétons ou des enduits, avec de très nombreuses réponses aussi diverses que variées, il est vrai : certaines sont fiables et d'autres le sont un peu moins. C'est la rançon de tous les forums. Je pense que c'est pour simplifier la recherche qu'une synthèse a été réalisée, depuis peu de temps il est vrai, sous la forme d'un tableau (Dosage Béton Mortier) qui vous donnera une "recette" d'enduits parmi tant d'autres. Sinon, allez surfer, par exemple sur le site Latyrolienne.com (vous connaissez ? l'appareil à crépir...). Sur ce sujet, qui est SON sujet, je le trouve pas mal du tout. Bons enduits...

Bonjour. Pour la réalisation de faux plafonds à fixer sur des hourdis, vous trouverez une très bonne explication, à la question n°809, internaute (2) dans le forum DIVERS. Elle n’est pas de moi et je le regrette…
Si vous avez des poutres apparentes et que vous désiriez les conserver tout en réalisant un faux plafond en placo ou autres matériaux, veillez consulter l'explication que je donne à la question 2833 de ce forum pour réaliser les découpes. J'y ai joint un croquis explicatif.
Pour les spots, c'est facile : il suffit de découper le placo avec une scie cloche à l'emplacement prévu pour chacun des spots (halogènes ?) qui se clipsent. Encore faut-il prévoir leurs emplacements avant la mise en place du faux plafond et tirer les lignes nécessaires à leur fonctionnement. Si le faux plafond ne contient qu’un très petit volume d’air, il n'est pas inutile de prévoir une aération car les spots halogènes chauffent beaucoup (même les 45 W). Ce n'est pas pour rien que leurs culots sont en céramique. Cordialement.

Bonjour. Si vous vous étiez servi du moteur de recherche sur ce même forum, vous auriez découvert que cette question avait déjà été posée plusieurs fois, et que la Question n°42 Maçonnerie (entre autres) avait trouvé réponse. Le vieux laboureur disait à ses enfants : Cherchez et vous trouverez... Cordialement.

La bonne question serait plutôt : De combien décaisser sans porter atteinte à la pérennité de la construction ? C'est les fondations (conception et profondeur) qui vous imposeront ce que vous pourrez faire ou ne pas faire. Vu le peu de renseignements contenus dans votre question, il est impossible de vous répondre. Cordialement.

Vous allez faire réaliser ce qu'on appelle une dalle flottante. Ce procédé est très classique et beaucoup plus courant qu’on ne se l’imagine (beaucoup de stations services sont sur dalle flottante). Je vous conseille de vérifier qu’un bureau d’étude Béton Armé aura calculé très précisément les efforts et contraintes que va supporter la dalle et les piliers qui y seront liés, et aura donné un dimensionnement et un plan de ferraillage précis. Rassurez-vous, ça bouge rarement. A titre d’exemple, sachez que la chaussée (3 voies) de la RN 96 dans la côté du MOTTY entre GAP et GRENOBLE est en fait une dalle en béton d’une bonne centaine de mètres de longueur qui repose depuis 25 ans au moins, suite à deux gros éboulements, sur des... blocs de polystyrène, et qui est circulée par un nombre impressionnant de PL. Alors... Cordialement.

Bonsoir. Tout dépend de la hauteur de la terre derrière le mur. Voir la réponse à la question 2316. Cela vous donnera des idées. A partir d'un mètre de terre, il y a risque de basculement si la semelle a été mal réalisée et surtout s'il y a de l'eau. Le ferraillage ne sert qu'à assurer une liaison indéformable entre le mur et la semelle. Il est extrêmement rare qu'un mur, dit de "soutènement" s'éventre. Par contre, les basculements sont relativement courants. Cordialement.

Bonjour. Pilasses ? inconnu dans mon dico et dans mes bouquins de techno ! Que souhaitez vous réaliser exactement ?

15 cm d'épaisseur avec en partie basse une armature en treillis soudé de 4. Béton dosé à 250 Kg/m3. Pas besoin de joint, la surface de la dalle étant proche de 12 m². Il serait souhaitable de réaliser une bêche sur tout le périmètre. Bien damer le sol avant de couler la dalle.

Bonjour. , vous trouverez une réponse en question n°2382, internaute (1).
Cordialement.

Bonjour. Le plus simple est de placer 2 IPN. Le mode opératoire est expliqué dans un complément de réponse Bricovideo à la question n°2358. Encore faudrait-il savoir ce qu'ils vont avoir à supporter pour définir leur section ? Un étage ou plusieurs ? La toiture uniquement ? Prenez le temps de lire les réponses relatives aux descentes de charges, consécutivement aux questions 2441 et 2454. Cordialement.